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RAB NE BANA DI JODI, le prochain film d'Aditya Chopra

Démarré par Didi, 02 Février 2008 à 14:45:33

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Swiss-Bolly

Bon ben moi et ma femme on est allé à la séance de 14h... tout d'abord concernant le film on a beaucoup aimé, un massala très sympa, avec un Shahrukh Khan craquant... beaucoup de plaisir et même les musiques qui m'avaient laissé un peu indifférent à l'écoute du cd sont bien passées... Bref que du bonheur...

Par contre le froid... j'ai jamais eu aussi froid au cinéma et pourtant en tant que Suisse j'aime le froid mais là ce fut dur... sans parler de l'écran déchiré et sale... et bien sûr les sous-titres... Je m'attendais à des sous-titres "Bollywood Times", j'entend par là une traduction littérale, pas faite par des professionnels mais correct, à ma grande surprise ils étaient plutôt mauvais, voir très mauvais par moment, j'ai trouvé ça un peu dommage... 10 euros pour une salle glaciale, un écran abîmé et des sous-titres limites pourris... Heureusement que le film a sauvé notre après-midi ! :mrgreen:
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Guiridja

#61
j'y suis allée aujourd'hui avec tohru (et j'ai vu des fantapotes du coup ^^) et donc le film est diffusé dans plusieurs salles. la salle qui pose problème c'est la salle 3 visiblement (écran déchiré et salle non chauffée). Donc on s'est pointé pour la séance de 15h et la le gars nos annonce que le film c'est à 16h (ils ont annulé toutes les projections de la salle qui n'est pas chauffée) donc on a du glandouillé 1h ... (dans le froid ... :roll:)

finalement on a pu voir le film (dans une salle plutôt bien je trouve) mais bon, le sous titrage est vraiment pas super (en blanc cassé sur blanc c'est pas top ...) et au final, il a caillé dans la salle  :wall:

sinon j'ai beaucoup aimé le film, vraiment. Il me fait penser aux films du shah qui sont dans la ligné des KKHH, DDLJ ... etc. c'est frais, c'est drôle est émouvant à la fois bref que du bonheur  :D et l'héroine est toute mignonne aussi, elle fait plus "réaliste" je trouve. Je veux dire que ça nous change des tops modèle habituel qu'on voit d'habitude  :mrgreen:.

J 'espère juste que la version BT sera à la hauteur car pour le coup c'est un film que je souhaite m'acheter.

guiridja

Didi

Tiens moi aussi j'ai vu des fantapotes cet après-midi  ;) ;)

Señorita et moi, averties par les autres fantapotes qui avaient caillé le vendredi, sommes allées pour la séance de 16H avec des plaids polaires, du coup on a pas eu froid  :mrgreen: :mrgreen:
mais on reste un peu déçues par l'ambiance pas très chaleureuse de la salle.
Pour les sous-titres, on ne pouvait faire grand-chose et finalement encore heureux que l'on s'est habitué à avoir du grand n'importe quoi (sous-titres qui disparaissent, translucides, incohérents, intermittants) du coup, on finit par plus trop les lire (et quand on les lit, c'est pour trouver des perles  :mrgreen: :mrgreen:). Encore heureux que le cinéma indien est suffisamment expressif pour qu'on puisse comprendre le film malgré tout.

Le film m'a beaucoup émue, dans la lignée des autres films d'Aditiya (c'est vrai que ce n'est pas la révolution), mais l'histoire de ce Surinder m'a beaucoup touchée (il a été le "lignting" de mon après-midi). La musique est vraiment sublimée par les images, c'est un vrai plaisir pour les yeux et les oreilles. J'aime beaucoup la séquence hommage au ciné hindi avec SRK et Kajol qui incarne mon autre couple favori.

Jordan White

Je pense qu'il ne faut pas s'attendre à un nouveau Dilwale Dulhania Le Jayenge, contrairement à Taran Ardash d'Indiafm qui en ressort déçu en pensant que ça allait être le cas. Il n'y pas de triangle amoureux, pas de rebondissements du genre la fiancée va finalement dans les bras de celui qu'elle aimait depuis toujours à la Kuch Kuch Hota Hai. Ici on reste dans la description du couple avec le thème central de la compréhension de l'autre et surtout de l'amour du coeur et pas celui du mariage arrangé. Alors on peut certes se poser des questions si on veut rester absolument terre à terre et pointer le réalisme du film : comment Taani ne peut pas se rendre compte que Surinder et Raj ne sont qu'une seule et même personne ? Le "travestissement" suffit-il à laisser passer tous les sentiments ? Est-elle à ce point si malheureuse dans le mariage tel qu'il a été conçu et souhaité par son père (figure tutélaire) pour ne pas se rendre compte que l'homme avec qui elle vit sous le même toit est une personne qui se déguise pour l'aimer ?  Ce qui m'a beaucoup touché c'est qu'ici le mariage de coeur triomphe.

Le troisième personnage du film et pas des moindres, c'est tout simplement la musique. Elle est présente partout. On la sent comme une vibration, comme une respiration constante. Elle accompagne toute les scènes clés (les premières répétitions du conours de danse, le repas un soir, quand Surinder se lève pour répéter les pas en se laissant emporter avant de redevenir calme, la chanson sur Dieu dans chaque personne et surtout personnifié selon Surinderi par Taani, la femme idéale pour lui, la poursuite en moto sur Dhoom Machale, les prières au temple sacré, et j'en passe et des meilleurs). A l'inverse de certains films où elle n'est qu'une parenthèse, un intermède, dans Rab Ne Bana Di Jodi elle souligne bien l'émotion, la découverte et la compréhension de l'un et l'autre des deux personnages sans surligner leurs sentiments.

Et puis surtout je crois que j'ai été transporté par le film par la beauté des décors naturels, par cette ville d'Amritsar, ses lieux de recueillement. J'ai ressenti un bouillonnement et une quiétude qui ne sont pas étangères au sentiment de plénitude et en même temps de spectacle total. Je suis ressorti de Rab Ne Bana Di Jodi bouleversé. Pendant le film, j'ai chanté durant les chansons, j'étais totalement dans le trip, à taper du pied par terre, à sourire, à pleurer. Une de mes plus belles expériences de ciné. D'autant que le public était très réceptif durant ma séance. Applaudissements, chants et émotion palpable.



Madhurifan

Citation de: Jordan White le 14 Décembre 2008 à 10:55:46
Je suis ressorti de Rab Ne Bana Di Jodi bouleversé. Pendant le film, j'ai chanté durant les chansons, j'étais totalement dans le trip, à taper du pied par terre, à sourire, à pleurer. Une de mes plus belles expériences de ciné. D'autant que le public était très réceptif durant ma séance. Applaudissements, chants et émotion palpable.

Arrête ! C'est pas sympa de mettre l'eau à la bouche à ce point....
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lalita

OH flut je suis malade du coup j'hésite à aller me les geler ds une salle pas chauffée. Je crois que je vais attendre le dvd
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Didi

C'est dommage de ne pas aller voir le film par peur du froid alors qu'il suffit de prendre un plaid polaire et le tour est joué  ;) ;)

Sinon, je suis tout à fait d'accord avec ce que Jordan dit à propos de la musique, c'est effectivement un personnage à part entière.
Sinon, pour les gens effectivement terre-à-terre, qui oublient qu'on est au cinéma,  des lunettes, ça vous change un homme et pas que dans les films bollywood  ;) ;) Comme me l'a fait remarqué judicieusement Señorita, hier, c'est le principe de fonctionnement de superman, la différence entre Clark et le super héros!
Sinon, on peut comprendre cette non-reconnaissance du mari sous son déguisement par l'épouse comme un désir d'échapper à la réalité qui lui a été imposée, elle préfère rêver, fantasmer. C'est le même principe que dans Paheli ou en film français, Le retour de Martin Guerre (deux histoires tirées du conte indo-européen traditionnel connu sous le nom de "Le mari imposteur") où l'épouse reconnaît comme son mari un imposteur (fantasme du mari qu'elle rêve). On a aussi le principe que pour RNBDJ dans un autre film français, Le zèbre, où pour sauver son couple de la routine, le mari s'invente un personnage qui va devenir l'amant de sa femme.

Et puis je crois aussi qu'il y a plusieurs messages d'Aditya à différents degrés : la ville d'Amritsar (magnifiée) et les paysages exclusivement indiens (dans Tujh mein) est une façon de dire au public indien "arrêtez de toujours chercher l'exotisme étranger (paysage, décors, histoires, etc.) dans les films, la beauté est aussi chez nous, en Inde, il suffit d'ouvrir les yeux. Regardez notre cinéma (séquence "Phir milengue chalte chalte), il a quand même créé des histoires d'amour exceptionnelles".

J'avoue que j'ai adoré cette séquence hommage au cinéma hindi et cette petite mise en abîme du cinéma à plusieurs reprises dans le film. D'ailleurs, c'était très bien fait. Ce n'était pas le film original que l'on voyait à l'écran, mais un faux très bien fait car on reconnaissait parfaitement les acteurs dont s'inspiraient les personnages.

J'ai aussi beaucoup aimé la chorégraphie finale.
Une dernière chose, ce film et sa musique reste vraiment en tête, on a à peine fini de le voir qu'on a déjà envie d'y retourner.

Laurent

A propos du message véhiculé par les paysages indiens, je te crois sur parole ! Quant à RNBDJ, ne serait-ce pas finalement le remake inavoué de Sommersby avec Richard Gere ? (je blague, mais c'est le remake de Martin Guerre avec un spécialiste du genre).

Didi

#68
Oui, Sommerby avec Richard Gere est considéré comme le remake du retour de Martin Guerre, disons qu'il reprend le principe du conte "le mari imposteur", mais ce conte a donné lieu à tellement d'adaptations et de variantes que je dirai qu'il est simplement une variante de plus. L'histoire du mari imposteur diffère quand même de RDBDJ dans la mesure où dans le mari imposteur, c'est un autre homme qui prend la place du mari légitime et qui est accepté par l'épouse tout en sachant qu'il n'est pas le vrai mari, c'est le motif à la base du conte traditionnel  alors que dans RDBDJ, c'est le mari légitime qui s'invente un autre personnage pour conquérir sa femme. Quoiqu'il en soit, dans les deux cas, l'attitude de l'épouse qui en reconnaît un autre ou qui ne reconnaît pas son légitime interpelle, mais les motivations sont beaucoup plus profondes qu'un simple "elle est bigleuse ou elle est sourde, elle ne reconnaît pas sa voix? (j'ai lu ça dans plusieurs reviews)/ Et puis, on est au cinéma, dans un espace de représentation justement où l'on peut se permettre autre chose que le réel pour rêver un peu.

Je trouve justement que cette variante "le mari qui s'invente un autre personnage pour conquérir son épouse" apporte beaucoup de fraîcheur dans le schéma classique des histoires d'amour du cinéma hindi. Le pauvre Surinder, qui menait une vie de vieux garçon, bien étriquée, bien routinière, se retrouve, par un concours de circonstances voulues par Dieu, le destin, le hasard, une force surnaturelle qui dépasse les simples humains (là dessus Aditya nous laisse libre choix) à une jeune femme qui est tout son contraire et surtout qu'il n'a pas séduite. Mais son personnage de Surinder inhibe complètement ses sentiments et pour leur donner libre cours, pour la séduire, il doit s'inventer ce Raj qui fait tout ce que lui n'ose pas faire.

En tout cas, bravo à Aditya de nous émouvoir avec ses belles histoires, c'est un beau conteur. Finalement, c'est peut-être cela qui a séduit Rani...

Jordan White

#69
Quelques spoilers, désolé


A propos du mari légitime et de ce que tu en écris Didi, à la base, le mari de Taani n'est pas un être aimé, mais un mari qui a été imposé par son père. A l'origine, elle était amoureuse de celui qui allait devenir son futur époux mais les circonstances font que le mariage de coeur initial se transforme en mariage arrangé. Surinder est juste là au bon moment. Je répète un peu ce que tu avais explicité, mais ça me paraît essentiel de voir que le mariage arrangé est ici très discuté dans l'oeuvre et même remis en question. Il est sujet à l'incommunicabilité, aux freins plutôt qu'à la sacralisation de l'amour qui viendra beaucoup plus tard grâce à Tujh Mein Rab Dikhta Hai.

Le réalisateur verrouille la relation entre les époux en leur faisant partager une maison dans laquelle ils ne font que se croiser : ils mangent ensemble mais à l'autre bout de la table, se disent bonjour, au revoir et ça se limite à ça en fait. Peu après, Taani participe à la fête de mariage avec les collègues de travail  de Surinder qui ne tient pas à s'épancher là dessus, et voit son épouse transfigurée (henné, sari flamboyant, sourire magnifique). C'est là qu'il voit la femme qu'il aime depuis le tout premier regard, le fameux "Love at first sight", qu'il voit celle qu'il aimera aussi toujours même si à ce moment là il se "contente" de n'être que Surinder le garçon timide et maladroit. C'est lorsqu'elle lui offre la "gamelle", que sa vie (celle de Surinder) bascule, car si elle dit ne jamais pouvoir l'aimer, elle montre au moins une délicate attention, qui ferait presque basculer le film dans la normalité : elle le reconnaît comme époux qu'elle sert et lui la reconnaît comme son épouse, laquelle dans le cercle intime peut lui proposer son affection.

Sinon le film reprend aussi des mythes fondateurs dans l'histoire des relations entre les hommes face à ce qui semble être des montagnes indépassables. Le mythe de David et Goliath (le combat de sumo) entre autres m'a particulièrement frappé. J'ai aussi ressenti de la fierté dans quelques séquences, par la grâce des paysages naturels, et aussi par la scène comique du riz biryani qui n'est pas innocente. Le meilleur riz du monde dixit Surinder..

Je ne me suis pas trop posé la question de savoir quand Taani allait enfin réaliser que les deux personnages masculins ne sont en fait qu'un, à vrai dire j'avais peur d'un twist qui dirait que tout cela n'était qu'imagination et que toute l'histoire était rêvée. Aditya va jusqu'au bout de son conte, et place la femme au centre du film, auquel il rend un très bel hommage. Dieu est amour, Dieu est femme et homme aussi dans Rab Ne Bana Di Jodi.

lalita

CitationSinon, je suis tout à fait d'accord avec ce que Jordan dit à propos de la musique, c'est effectivement un personnage à part entière.
Sinon, pour les gens effectivement terre-à-terre, qui oublient qu'on est au cinéma,  des lunettes, ça vous change un homme et pas que dans les films bollywood  Clin d'oeil Clin d'oeil Comme me l'a fait remarqué judicieusement Señorita, hier, c'est le principe de fonctionnement de superman, la différence entre Clark et le super héros!
Sinon, on peut comprendre cette non-reconnaissance du mari sous son déguisement par l'épouse comme un désir d'échapper à la réalité qui lui a été imposée, elle préfère rêver, fantasmer. C'est le même principe que dans Paheli ou en film français, Le retour de Martin Guerre (deux histoires tirées du conte indo-européen traditionnel connu sous le nom de "Le mari imposteur") où l'épouse reconnaît comme son mari un imposteur (fantasme du mari qu'elle rêve). On a aussi le principe que pour RNBDJ dans un autre film français, Le zèbre, où pour sauver son couple de la routine, le mari s'invente un personnage qui va devenir l'amant de sa femme.

A propos du recours aux paysages étrangers. J'ai eu une conversation de ce genre sur un forum anglophone et on m'a expliqué que ça arrivait de plus en plus souvent pour des raisons simplement pratiques. C'est moins chères de tourner à l'étranger paraît-il parce qu'il devient de plus en plus difficile de le faire avec des stars comme SRK ou Akshaye Kumar dans la rue en Inde ! Problème de sécurité, la foule indisciplinée, le bruit fait qu'on est quasi obligée de doubler les dialogues en studio. On le constate avec les images du making de Rab Ne Bana Di Jodi. Vrai ou pas, on m'a dit que ça devenait de plus en plus déterminant...
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Didi

Tout plein de spoilers (encore)

C'est vrai que Aditya a la délicatesse de nous épargner un twist final qui aurait tout gâché et en cela, je le trouve beaucoup plus subtil que son père (dans Silsila par exemple). C'est un formidable conteur, on le savait avec DDLJ, Mohhabatein (où il tricote malgré tout 4 histoires d'amour complètement différentes, dont une magnifique avec l'amour au-delà de la mort) et il le prouve une fois encore avec RNBDJ. En plus, il nous offre un film avec de multiples lectures et nous fait papoter  ;) ;)

Une dernière petite chose. On a reproché à ce film de ne pas faire ne serait-ce qu'une petite référence à DDLJ. Moi, j'en vois une, qui a lieu tout au début et qui nous annonce la couleur (ce film n'est pas un nouveau DDLJ). C'est un des tous premiers plans qui nous présente les personnages : Surinder descend du train (gauche, encombré de ses bagages) et se retourne. A ce moment-là nous découvrons son épouse qui n'a pas encore enlevé sa robe de mariée et à qui il tend la main pour l'aider à descendre du train. Or, elle refuse et Surinder, tout penaud, ravale sa salive et commence à marcher, lui devant avec les valises, elle derrière. Ce refus de donner la main m'a fait penser à cette fameuse scène de DDLJ où par deux fois, Simran donne la main à Raj pour monter dans le train, poignée de main symbolique des liens qu'ils vont créer à chaque étape de leur histoire.
Taani, elle refuse cette main tendue, elle refuse au départ le lien. Ensuite, quand son mari avance, elle se tient derrière lui, dans la position exacte du rituel de mariage védique à un détail près : il n'y a pas d'écharpe qui les unit, ce qui d'un point de vue symbolique signifie que ce lien qui n'existe pas encore va devoir être créé. Comment, c'est tout le propos du film. Qu'il me tarde trop d'aller revoir pour le plaisir des yeux, des oreilles, de voir raconter une belle histoire comme les petits enfants qui aiment se faire raconter plusieurs fois la même histoire.

धनेश

Yeaaaaah c'était excellent :dance:

Ok les sous-titres étaient jaunes, trop fins et traduits automatiquement...
Ok il faisait zéro degrés Kelvin dans la salle, tellement que ça faisait de la vapeur quand on respirait... :mrgreen:

Mais Shah Rukh Khan est exceptionnel, ce gars est trop génial !! :dance: 8)
Ca fait plaisir de voir un film qui a la fraîcheur des classiques des années 90 :P
Vivement le DVDééééééééééééé :dance:

Sinon, qqun est passé au stand Bollywood Times à l'entrée ? J'me demandais si les posters étaient offerts ou payants...
Mais en sortant on était tellement gelés qu'on a oublié de s'arrêter, et on a tracé direct pour retourner au chaud :clap: (<-- là j'applaudis pas, j'me réchauffe les mains :P)
ek zindagi, ek larki, ek mohabbat, aur ek gana...[/color]

soniya

Citation de: धनेश le 15 Décembre 2008 à 09:50:25
Yeaaaaah c'était excellent :dance:
Dhanesh, t'étais pas là-bas vendredi soir à la séance de 19h?

cricri

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CitationEt puis surtout je crois que j'ai été transporté par le film par la beauté des décors naturels, par cette ville d'Amritsar, ses lieux de recueillement. J'ai ressenti un bouillonnement et une quiétude qui ne sont pas étangères au sentiment de plénitude et en même temps de spectacle total. Je suis ressorti de Rab Ne Bana Di Jodi bouleversé. Pendant le film, j'ai chanté durant les chansons, j'étais totalement dans le trip, à taper du pied par terre, à sourire, à pleurer. Une de mes plus belles expériences de ciné. D'autant que le public était très réceptif durant ma séance. Applaudissements, chants et émotion palpable
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:clap:quel enthousiasme Jordan, c'est toujours un plaisir de lire tes commentaires, ça donne vraiment envie de voir ce film,même si le cinéma indien ne sort qu'un ou deux film par an de cette "veine" c'est déjà un grand bonheur, j'avais peur qu'après OSO il nous faille attendre longtemps, c'est super :lol: :lol: mais pour nous pauvres provinciaux il faudra attendre le DVD :whine: