Bobby Deol (+ Sunny et Dharmendra)

[Deolia]

Impressionnant JP ! 

Bobby dans "23rd March 1931 : Shaheed" : très bon choix de film !
(Cela dit, qu'il ne répète pas ce look trop souvent quand même )

Je crois que tu es arrivé à un point de non-retour là JP. Vois un peu à quoi tu en es réduit : passer ta soirée à chercher des photos des Deol tellement ils te fascinent 

Mon pauvre vieux ! (euh, c'est une expression, n'y vois surtout aucune connotation péjorative non plus  ).

Avec ça, je dois te remercier JP, tu viens d'inaugurer la 15ème page de mon fil déjà...

[Madhurifan]

Vois un peu à quoi tu en es réduit : passer ta soirée à chercher des photos des Deol tellement ils te fascinent 

Faut pas exagérer. 2° page de google. C'est supportable

[Deolia]

Peut-être mais, comme on dit, il y a un début à tout 
Disons plutôt que tu y vas en douceur alors 

Qui sait, la prochaine fois, tu seras peut-être amené à une recherche plus approfondie 
Tu sais bien qu'il ne faut jamais dire "jamais" JP 

[Deolia]

Nouvelle interview de Sunny (il en fait des efforts depuis un moment  )

(Source : www.hindustantimes.com)

SUNNY DEOL TALKS TOUGH FROM PATIALA
Mumbai, March 12, 2010

What's it like being back in Punjab with your father, Dharmendra, and brother Bobby Deol, shooting for a home production, Yamla Pagla Deewana?
It's like being back home. This is where we started out from but unfortunately, these days, unless we are shooting, we don't get too many opportunities to fly down.

The title of the film was obviously inspired by the chartbuster from Pratigya that featured your father and Rekha?
It was and wasn't it a great song? No dance master choreographed moves, only an expression of crazy wonderment because the kudi (girl) has accepted that she loves you too.

Go on, tell us more about this new Yamla Pagla Deewana.
Well, it's not something you have seen us do before. Usually we are in a traditional, self-respecting family set-up in a movie with an overflow of emotions. The emotions are there but they spill over exuberantly. (Chuckles) We would never behave like this at home.

Why has it taken you three years to get back together after Apne?
It was difficult to find a subject that would justify the three of us coming together. We've been working on this script for the last year-and-a-half.

Don't you think the metros and the multiplex movies have weaned you away from your home turf and the maar dhaad dhamakas (action films) that were always the trademark of the Deols?
May be they did. These kind of movies still have an audience even though our filmmakers don't seem to think so. There was a time when we first fixed on a story and then moved to the casting. Now producers rope in the stars first, then think about the subject, depending on what works, Friday to Friday.

For a long time I haven't been associated with good cinema. I've taken on films because the producer was a friend. The reasons were often personal rather than professional. But not anymore. Now I will give the nod only to films I believe in.

So will we see a sequel to Ghayal, Ghatak or even Gadar go on the floors soon?
That would depend on whether I can get a good director and script. Just making a sequel for the sake of marketing it would lead to a great fall. But I'm doing an action film for T-Series with Radhika and Vinay Sapru. The Man that I'm directing, will also have action. 

Buzz is that the just-released Right Yaa Wrong is a film with three directors — Subhash Ghai, Sunny Deol and Neeraj Pathak. Right ya wrong?
(Laughs out loud) That's marketing for you. The film had just one director, Neeraj Pathak. Subhashji and I got along well though there were times when he'd try to convince us about certain things. But I don't take opinions from anyone. I go by my own instincts.

At the end of the day, you should know what's right without having to go to anyone. I haven't seen the complete film yet but Right Yaa Wrong is a great subject.

It's another cop film.
Yeah, but this time it's not about the cop's personal life but discipline, principles and his relationship with another cop, Irrfan Khan. It's an interesting film. 

You've always shied away from publicity...
Hey, I'm promoting my film now, aren't I? (Laughs) That too from Punjab at 8 am.  May be I did get left behind when it came to promoting my work in the past. It's difficult to change yourself but I'm trying.

Your film is coming along with five other films on the opening day of IPL Season 3. Couldn't you have scheduled the release better?
We were supposed to come last year but the released was pushed ahead. Earlier too, we've had three-four films coming together. But the multiplexes have changed the scenario.

Films aren't given a chance to recoup their investment. Shows are doled out in terms of performance without giving the film time to grow.

Ticket rates have also gone up and put a film out of the reach of the common man. There was a time when people would go to the theatre without a thought for how much money was in their pockets. Today, even an ardent film buff will think twice. (Sighs) The IPL doesn't help.

A lot of stars have jumped into the IPL bandwagon. Ever thought of buying yourself a team too?
Today, everyone is trying to turn himself into a commercially viable commodity and that's killing the brand value of the fraternity of actors. We no longer have actors-actors, if you know what I mean. But that's way it is with everyone in the country.

Unfortunately, I'm not the kind of person who can get into ventures. I'm trying to change myself but still, I know, if I go too far, I might fall flat on my face.

So you will stick to acting, directing and producing movies. But does Vijeta Films have a new business strategy now?
We've always gone for good cinema. And our track record has been pretty good too in comparison to others. The only hitch is that being actors, we are not financially wise. But we're working on it.

Tie-ups would help. With one partner handling the financial and production aspects, we would be free to concentrate on content. And that's important because it's the story that sells, even today.

*******

Edit : Traduction

Qu'est-ce que cela vous fait d'être de retour au Punjab avec votre père Dharmendra et votre frère Bobby Deol pour le tournage de votre production-maison "Yamla Pagla Deewana"?
C'est comme être de retour à la maison. C'est d'ici que nous sommes partis mais, malheureusement, ces jours-ci, à moins que nous soyons en tournage, nous n'avons pas beaucoup d'occasions d'y revenir.

Le titre du film a été manifestement inspiré par le hit de Pratigya qui avait pour vedettes votre père et Rekha ?
C'est le cas et n'était-ce pas une grande chanson ? Pas de mouvements de danse chorégraphiés par un maître, seulement une expression d'émerveillement parce que la fille a admis qu'elle vous aime aussi.

Dites-nous en plus à propos de ce nouveau "Yamla Pagla Deewana" ?
Et bien, ce n'est pas quelque chose que vous nous avez vu faire auparavant. D'habitude, nous sommes dans une situation de famille traditionnelle, qui se respecte, dans un film avec un trop-plein d'émotions. Les émotions sont là mais elles se répandent avec exubérance. Nous ne nous comporterions jamais comme ça à la maison.

Pourquoi vous a-t-il fallu 3 ans pour vous réunir après Apne ?
Il était difficile de trouver un sujet qui justifiait notre présence à tous les trois. Nous travaillons sur le script depuis un an et demi.

Ne pensez-vous pas que les films des multiplexes vous ont détourné de votre domaine et des films d'action qui étaient toujours la marque de fabrique des Deol ?
Peut-être. Ce genre de film a toujours une audience même si nos cinéastes ne semblent pas le penser. Il fut un temps où l'on décidait d'abord d'une histoire et ensuite on s'occupait du casting. Maintenant, les producteurs enrôlent d'abord les stars et pensent ensuite au sujet, selon ce qui marche d'un vendredi à l'autre.
Je n'ai pas été associé à du bon cinéma depuis longtemps. J'ai accepté des films parce que le producteur était un ami. Les raisons étaient plus souvent personnelles que professionnelles. Mais plus maintenant. Maintenant, je donnerai seulement mon feu vert pour des films dans lesquels je crois.

Verrons-nous une suite de Ghayal, Ghatak ou même Gadar bientôt ?
ça dépendra si je peux trouver un bon réalisateur et un bon script. Faire une suite seulement pour des raisons de marketing, ce serait courir à l'échec. Mais je fais un film d'action pour T-Series avec Radhika et Vinay Sapru. "The Man" que je réalise aura aussi de l'action.

Right Yaaa Wrong, qui vient juste de sortir, est un film qui a 3 réalisateurs : Subhash Ghai, Sunny Deol et Neeraj Pathak. Vrai ou faux ?
(Rires) C'est du marketing pour vous. Le film a seulement un réalisateur, Neeraj Pathak. Subhashji et moi nous entendons bien même s'il y a eu des fois où il a essayé de nous convaincre au sujet de certaines choses. Mais je n'accepte les avis de personne. Je me fie à mon instinct. A la fin de la journée, vous devez savoir ce qui est bien sans avoir à demander à quelqu'un. Je n'ai pas encore vu le film en entier mais "Right Yaaa Wrong" est un grand sujet.

C'est un autre film de flic ?
Oui mais cette fois, ça ne concerne pas la vie privée du policier mais la discipline, les principes et sa relation avec un autre policier, Irrfan Khan. C'est un film intéressant.

Vous avez toujours répugné à faire de la publicité...
Hey, je suis en train de promouvoir mon film maintenant, non ? (rires) Cela du Punjab à 8 heures du matin. Peut-être que je suis resté en retrait lorsqu'il s'agissait de promouvoir mon travail dans le passé. C'est difficile de changer mais j'essaie.

Votre film sort en même temps que 5 autres films le jour de l'ouverture de l'IPL Saison 3. N'auriez-vous pas pu mieux programmer la sortie ?
Nous étions supposés le sortir l'année dernière mais la sortie a été repoussée. Plus tôt, nous avions 3-4 films sortant en même temps. Les multiplexes ont changé le scénario. On ne donne pas la chance aux films de récupérer leur investissement. Les séances sont distribuées au compte-gouttes en fonction des résultats sans donner le temps au film de s'imposer. Le prix des tickets a augmenté et mis un film hors de portée de l'homme du peuple. Il fut un temps où les gens allaient au cinéma sans penser à combien d'argent ils avaient en poche. Aujourd'hui, même un mordu de cinéma y réfléchira à deux fois. L'IPL n'aide pas.

Beaucoup de stars ont suivi le mouvement de l'IPL. Avez-vous aussi pensé à acheter une équipe ?
Aujourd'hui, chacun essaie de se tourner vers un produit commercialement viable et ça tue la valeur de la marque de fraternité des acteurs. Nous n'avons plus d'acteurs-acteurs, si vous voyez ce que je veux dire. Mais c'est ainsi que vont les choses pour tout le monde dans le pays. Malheureusement, je ne suis pas le genre de personne qui ose s'aventurer. J'essaie de changer mais je sais que si je vais trop loin, je pourrai me casser la figure.

Donc, vous allez continuer à jouer, réaliser et produire des films. Mais est-ce que Vijayta Films a une nouvelle stratégie commerciale ?
Nous avons toujours essayé de faire du bon cinéma. Et nous avons obtenu des résultats relativement bons comparé à d'autres. Le seul obstacle c'est qu'étant des acteurs, nous ne sommes pas prudents financièrement. Mais nous y travaillons.
Des partenariats aideraient. Avec un partenaire qui s'occuperait des aspects financiers et de la production, nous serions libres de nous concentrer sur le contenu. Et c'est important parce que c'est l'histoire qui se vend, même aujourd'hui.

[Laurent]

Sympathique interview. Mais, pour ne pas subir une impatience insoutenable (?!?), faut pas trop penser aux projets des Deol, parce qu'ils semblent les ralentir ces derniers temps pour faire de la qualité, et un film, même tourné, peut être repoussé pendant des mois...

[Deolia]

Mais j'ai toujours trouvé les interviews des Deol bien sympathiques moi 
Qu'il s'agisse de Sunny ou de Bobby, ils ont vraiment les pieds sur terre et sont toujours très honnêtes dans leur façon de parler (j'avais beaucoup aimé le "Koffee With Karan" qu'ils avaient fait ensemble en 2005. Je ne sais pas si tu l'avais vu Laurent mais c'était bien sympa; ça permettait vraiment de mieux les connaître).
Le fait que leurs interviews soient peu nombreuses m'en fait seulement savourer chaque mot 

Pour ce qui est de leurs projets, c'est vrai qu'il n'y a jamais rien qui sort à la date prévue mais, ne pas y penser, tu m'en demandes beaucoup trop là Laurent 
Mais c'est très bien en effet qu'ils aient décidé de privilégier la qualité. Sunny a l'air de vraiment bien se reprendre; j'en suis très contente !

[Laurent]

Ouais, Sunny reprend un peu du poil de la bête, depuis Apne qui est pour moi son dernier bon film, voire mon préféré depuis Ziddi 10 ans auparavant. Même Dharmendra a une meilleure carrière récente que lui (d'autres bons films qu'Apne en 2007) et bien sûr Bobby, avec Dostana, NJ (enfin je l'ai pas vu mais je dis ça pour te... heu... par conviction personnelle).

En tout cas, on dirait que Sunny s'investit plus dans la promo parce que ce film-là est son meilleur depuis quelques années et (c'est sûrement lié) parce qu'il a deux des meilleurs comédiens actuels comme partenaires. J'espère juste qu'il tiendra tête à Irfan, qui est vraiment charismatique dans ses rôles de flics froids pas indignes de Nana Patekar.

[Deolia]

C'est vrai qu'Apne est le meilleur film que Sunny ait fait ces 10 dernières années. Mais, il n'a pas fait que des mauvais films non plus. Il a fait des films très corrects après Ziddi, notamment Dillagi, Indian, Gadar (même s'il ne fait pas partie de mes préférés), 23rd March 1931 : Shaheed et The Hero. Je comprends que ce dernier puisse te paraître décevant après ses films des années 90 mais il est quand même sympathique et il plaît bien en tout cas.

bien sûr Bobby, avec Dostana, NJ (enfin je l'ai pas vu mais je dis ça pour te... heu... par conviction personnelle).

Quoi ?? Tu n'as toujours pas vu Nanhe Jaisalmer ? Non, mais c'est pas possible ça Laurent 

[Laurent]

Je l'ai dans un coin de mon cerveau, te raconterai quand j'aurai vu cette référence. Sinon d'accord pour Indian et Gadar, qui sont assez bons.

[Deolia]

(Source : bollywoodhungama)

SUNNY DEOL V/S SUBHASH GHAI: THE TWO BIGGIES ENGAGE IN WAR OF WORDS
By Subhash K. Jha, March 17, 2010 - 12:30 IST

Sunny Deol is very upset with the way Subhash Ghai and his production house Mukta Arts have marketed Right Yaaa Wrong.

Says Sunny, "It was always a good film. Mukta Arts has not been fair to it. They've publicized it like a small producer would have. For a large production house they really didn't seem to know what to do with the film. It was all talk talk talk... There were so many meetings and so many plans. But nothing happened. I'm fed up of all this empty talk. Now I only want to work on projects with a clear plan of action."

Sunny feels Ghai was not interested in the film. "He didn't believe in Right Yaaa Wrong. And he was surrounded by advisers who were constantly trying to bisect and dissect the film. Filmmaking may be a team effort. But you can't have a team of people always providing inputs and advice. That only causes chaos and confusion. The film has to finally go by one man's vision. And that man is the director."

Apparently, Ghai didn't allow the director Neerraj Pathak to do his work. "At the end of the day it's his vision that determines the end-product. You've to let the director do his job. Fortunately or unfortunately, I'm not the kind of person who interferes beyond a point. I can't sit and talk talk talk. I'm a man of action."

Sunny accuses Ghai of releasing the film at the wrong time. "They kept saying they'd release the film at the right time. Finally they released it on the day the IPL matches started. How is that the right date? The truth is, they had lost interest in the film. But when they held trials people liked the film. Suddenly they decided to release it with haphazard publicity at a time when I'm shooting in Punjab. They were earlier supposed to release in December, then January...what was I supposed to do? Give up shooting and run around doing the publicity (for Right Yaaa Wrong) when they wanted me to? All big talk. The world is filled with big talkers."

Sighs Sunny, "It's a changed industry. Nothing works the way it used to. A few films click, and that's it. I'm not interested in any kind of politics. And the directors ...we need good directors. The directors we (the Deols) have given a break to have run away after working with us. Everyone is into their own kind of cinema, not necessarily sensible cinema."

Is Sunny talking about Raj Kumar Santoshi? "He was supposed to do a project with me again. I guess it wasn't meant to be. He will do films only where the economics are to his advantage. He doesn't have the b**ls to make the cinema he believes in unless the money is right. Who's doing the work they believe in? Imtiaz Ali made Socha Na Tha with our cousin Abhay Deol. Now that film is being remade over and over again in different packages. Anyway, if I was once bitten and twice shy I'd be called an emotional man. But if I was twice bitten and thrice shy then I'd be called a foolish man. Santoshi or anyone else makes films wherever there's money. What happened to creativity? I wonder! Filmmakers follow Friday trends."

Sunny's second film as director The Man has been delayed for some time. Explains Sunny, "There're many reasons for it. It's a big-budget film. We're trying to find buyers for it. The film is 50 percent complete."

Sunny is happy with the way their family film Yamla Pagla Deewana is shaping up. "It's a great story. And the film will rock. My dad, my brother and I are shooting in Punjab. They treat us like family here. As for my dad, nobody can reach the place where he is." Sunny is very proud of his cousin Abhay Deol. "He has the guts to do the kind of cinema he believes. Just like all the other Deols."

On the other hand, Subhash Ghai reacts to Sunny's comments, "Mukta Arts is the worldright controllers and distributors of Right Yaaa Wrong. We weren't able to sell the film anywhere. There were no buyers. The set-up was not saleable. Our job was to give money for the film's making and therefore we were the most insecure people in the project. Sunny saab's reactions have to do with the way the film has been received .Why didn't he say all these things before release? I had gone to Sunny's home at least six times. We wanted to release it initially on November 30. But the stars, and I'm talking not just about Sunny but Irrfan, Konkona and Esha Koppikhar, had no time to promote the film. As far as my intervention in concerned, the director Neeraj Pathak himself came to me to ask for advice. I only advised him to increase the film's tempo. Is it a crime to give suggestions for a film where there're so many financial stakes? The film was started when there was a boom...big fruits were laden on the tree. When it was released the tree had dried up. All the cast and crew reaped the fruits. We the film's world financiers were left with no money. We sold the entire overseas territory for Rs. 20 lakhs. We spent Rs.1.5 crores on the publicity. But the actors were not available for the publicity. Sunny said he's too shy to do publicity. Look at Shah Rukh and Aamir how they promote their films. They hold their producers' hands and take them everywhere for a film's publicity. Instead of publicity for Right Yaaa Wrong, Sunny left for Punjab to shoot his film. Please don't blame Mukta Arts. Now why is Sunny getting agitated? He's a good boy. But he's innocent about the changing marketing strategy of cinema. Sunny needs to get real."

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Résumé de l'article :

Nouvelles tensions entre Sunny et Subhash Ghai 

Sunny est très contrarié de la manière dont Subhash Ghai et sa maison de production ont assuré le marketing de "Right Yaaa Wrong". Sunny dit que ça a toujours été un bon film et que Mukta Arts n'a pas été juste. Il dit qu'ils ont fait la promotion du film comme l'aurait fait un petit producteur. C'étaient toujours des discours, des discours.... Sunny dit qu'il en a assez des discours vides. Il veut travailler sur des projets avec un plan d'action clair.
Sunny pense que Ghai ne croyait pas dans "Right Yaaa Wrong". Il était entouré par des conseillers qui essayaient constamment de disséquer le film. Sunny trouve que l'on ne devrait tenir compte que de l'avis du réalisateur mais que c'est toujours la vision de Ghai qui détermine le produit final. Il ne laisse pas le réalisateur faire son travail.
Sunny accuse Subhash Ghai d'avoir sorti le film à un mauvais moment : "Ils n'ont pas cessé de dire qu'ils sortiraient le film au bon moment. Finalement, ils l'ont sorti le jour de l'ouverture de l'IPL. En quoi cela est-il la bonne date ? La vérité est qu'ils n'étaient plus intéressés par le film. Ils étaient censés le sortir plus tôt, en décembre, ensuite en janvier...Soudain, ils décident de le sortir en faisant la publicité sans aucune méthode lorsque je suis en tournage au Punjab. Qu'est-ce que j'étais supposé faire ? Arrêter de tourner et courir faire de la publicité lorsqu'ils me le demandaient ? Tous des beaux discours. Le monde est rempli de beaux parleurs". Pour Sunny, l'industrie a changé et rien ne fonctionne plus comme avant. Les cinéastes ne font plus des films dans lesquels ils croient mais en fonction de ce que ça va leur rapporter. Ils suivent la tendance du vendredi. Sunny se demande ce qui est arrivé à la créativité ?

Sunny explique aussi que le 2ème film qu'il réalise "The Man" est retardé depuis quelque temps et qu'il y a plusieurs raisons à cela. C'est un film à gros budget et ils essaient de trouver des acheteurs. Le film est à moitié terminé.
Il dit qu'il est heureux de la manière dont leur film familial "Yamla Pagla Deewana" prend forme car c'est une grande histoire.
Sunny est aussi très fier de son cousin Abhay Deol car il a le cran de faire le genre de cinéma dans lequel il croit, comme tous les autres Deol.

De son côté, Subhash Ghai réagit aux commentaires de Sunny en disant qu'il n'y avait pas d'acheteurs pour le film. Il dit que la réaction de Sunny vient de la manière dont le film a été reçu. Il dit qu'il voulait le sortir le 30 novembre mais que les stars (Sunny, Irrfan, Konkona, Eesha) n'avaient pas le temps de promouvoir le film. Sunny a dit qu'il était trop timide pour faire de la publicité. Ghai prend l'exemple de Shahrukh et Aamir qui promeuvent leurs films partout. Il dit qu'au lieu de promouvoir "Right Yaaa Wrong", Sunny est parti au Punjab tourner son film et qu'il ne faut pas blâmer Mukta Arts.
Il dit que Sunny est un brave garçon mais qu'il est naïf au sujet de la stratégie marketing du cinéma qui change...

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Qui a tort, qui a raison ? 

Je trouve que Subhash Ghai a quand même très mal choisi la date de sortie du film. En pleine ouverture de l'IPL, c'est quand même une période suicidaire pour sortir un film  Les dates annoncées précédemment (15 janvier et 5 février) auraient quand même été plus propices.

[Didi]

Dharmendra vient d'être admis à l'hôpital suite à une douleur à la poitrine et à une grande fatigue (symptômes d'un infarctus?). Espérons pour lui et sa famille que ce ne soit rien de grave et souhaitons-lui un bon rétablissement.

J'espère sincèrement que la meute des journalistes toujours à l'affût de scoop et chasseurs d'images le laisseront tranquille, ainsi que sa famille. Pas besoin de nous montrer Dharmendra alité et sa famille éplorée comme ils avaient fait avec Amitabh quand il avait été hospitalisé. C'est du voyeurisme malsain !

[Deolia]

Oui, j'ai lu la news aussi Didi mais, apparemment, il serait ressorti (du moins, d'après certains articles).

Je ne suis pas étonnée quand je vois les heures de tournage, surtout à son âge.

J'espère aussi que ce n'est rien de grave et qu'il se reposera quand même avant de reprendre le tournage...


http://entertainment.in.msn.com/bollywood/article.aspx?cp-documentid=3716952

http://in.news.yahoo.com/20/20100317/1416/tnl-dharmendra-hospitalised-discharged.html

[Deolia]

Apparemment, il n'y avait rien de grave avec Dharmendra. Il s'est plaint d'un malaise et a simplement subi un check-up par prudence.
Samir Karnik dit qu'il va bien et qu'il a déjà repris le tournage alors qu'il lui avait suggéré de se reposer.

(Sources : Times of India et Filmicafe.com)

A TEST-ING TIME FOR DHARMENDRA
SUBHASH K JHA , TNN, Mar 18, 2010, 11.49am IST

Dharmendra was rumoured to have suffered a heart attack yesterday, while he was shooting for Yamla Pagal Deewana in Punjab with his sons, Sunny and Bobby Deol. He was hospitalised after complaining of uneasiness.

Director Samir Karnik says, "We thought it was the food that didn't agree with him. But Dharamji suggested that a check-up would be advisable."

The local doctors in Patiala suggested that he be taken to a better equipped hospital in Chandigarh. Sameer Karnik adds, "He's absolutely fine. In fact he was shooting yesterday evening in Patiala again though we suggested that he rest. But Dharamji can't slow down. He has more energy than all of us put together."

The family was naturally concerned about his health. Sunny says, shyly, "Papa is fine. He had gone to the hospital for a check-up, nothing else."

Hema Malini, who is in Haridwar, says she got to know of her husband's health scare after people called her to inquire about Dharmendra's health.

Says Hema, "I'm here for a dance performance. I rang him up and asked if he was hiding anything. I felt relieved only when he assured me that he was well. Now I'm doing Ganga Aarti and, of course, I'll pray for his long life. It's good that he got a thorough check-up done. At his age, he needs to be cautious."

[Deolia]

(Source : Bollywoodhungama)

SUNNY DEOL TO STAR IN NEERRAJ PATHAK'S POLITICAL THRILLER TITLED GANNIT
By Bollywood Hungama News Network, March 18, 2010 - 14:25 IST

After a long hiatus from films, the man with the 'dhai kilo ka haath' returns with an action suspense film Right Yaaa Wrong. With mixed reviews ranging from an engrossing film to a less than moderate attempt, Neerraj Pathak manages to add enthusiasm to his voice considering the fact that he achieved what he wanted to.

However, post Right Yaaa Wrong, Neerraj Pathak, not being one to stay calm for long, has already begun work on his next titled Gannit. "Gannit is a political thriller based on the political scenario in U.P. at this moment. I have already approached Sunny with the concept of the film and he has confirmed that he will star in it. Apart from him in the lead, there are two other male leads who need to be finalized and three lead female spots that are vacant as well", says Pathak.

"In fact we are still really a bit early in the process of finalizing things for the film and it will be a good 20 odd days before I come out with any official press release of sorts but this is all for now", while he further tells us about the shooting of the film, "Right now we are looking at starting the shoot for Gannit somewhere around May, while for the release, I am looking to finish the film in say about 6 to 8 months, so somewhere next year."

However, the one fact that plays on our mind is one Neerraj put to rest immediately as he talks about his producer, "Gannit will be produced by Red Carpet and Blue Moon Pictures together, while in terms of music we haven't got down to really discussing it thoroughly, but I think that once we have everything in place we will start with music as it will help us with a clearer picture of what exactly we want."

With this conformation, it certainly seems like Sunny Deol is all set at make a full fledged comeback of sorts which started with Right Yaaa Wrong, and will be followed by his home production Yamla Pagla Deewana and Neerraj Pathak's Gannit.

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Résumé de l'article :

Sunny Deol va jouer dans le prochain film de Neerraj Pathak, le réalisateur de Right Yaaa Wrong, qui est intitulé "Gannit".
Gannit est un thriller politique basé sur la situation politique actuelle en Uttar Pradesh.
En plus de Sunny, deux autres acteurs doivent encore être finalisés ainsi que 3 actrices.
Neerraj Pathak aimerait commencer le tournage aux environs du mois de mai et celui-ci devrait prendre 6 à 8 mois.
Gannit sera produit par "Red Carpet" et "Blue Moon Pictures".
Beaucoup de choses doivent encore être finalisées et Neerraj Pathak fera un communiqué de presse plus tard.

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Il y a un article similaire qui est paru dans le Mumbai Mirror qui dit que les personnages de "Gannit" seront inspirés des politiciens de l'Uttar Pradesh : Mayawati, Mulayam Singh et Amar Singh. Ce sera un drame politique réaliste qui se déroule à Lucknow.

[Deolia]

Dans le Filmfare du 17 mars 2010 (celui avec Shahid en couverture), il y a aussi une interview de 3 pages de Sunny.

Je ne retranscris pas l'entièreté car il y a une bonne moitié de l'article qui reprend des choses qui ont déjà été évoquées dans les interviews que Sunny a données avant la sortie de Right Yaaa Wrong et qui sont déjà reprises dans ce topic, notamment : les changements survenus dans l'industrie, le fait qu'il soit contre les astuces marketing et qu'il n'aime pas promouvoir ses films, le fait qu'il n'ait pas fait tellement de films ces dernières années à cause de son problème de dos, pourquoi le projet "The Man" a été mis en veilleuse pour l'instant, le fait qu'il soit très fier de son cousin Abhay Deol car il fait le genre de cinéma qu'il a envie de faire, ...

Voici le reste de l'interview :

Est-ce que le fait d'être timide et distant s'est révélé préjudiciable pour votre carrière ?
Je ne pense pas que je puisse changer maintenant. Je serai ce que je suis. C'est moi, c'est à prendre ou à laisser. Tant que je suis honnête dans mon travail, je ne me préoccupe pas du reste. Mon père Dharmendra, mon frère Bobby et moi sommes tous comme ça. J'aurais aimé avoir fait quelques bons films ces dernières années. Cette question n'aurait pas été soulevée. Je veux être connu en tant qu'acteur et non pas en tant que quelqu'un qui doit aller se vendre lui-même. Je suis incapable de faire ça et je doute que je le serai un jour.
(Rires) Au moins, je peux faire cette interview 

Mais il y a des femmes qui trouvent votre timidité très sexy. Alors, avez-vous cultivé cette image exprès ?
(Rires) Non, vous ne pouvez pas jouer la comédie avec ce genre de chose, vous pouvez seulement être. Est-ce que j'aime ce genre d'attention ? Qui n'aimerait pas ?

Londres est votre destination favorite, pourquoi ?
J'y vais depuis des années. J'ai suivi mes cours de cinéma là-bas. J'y ai aussi une petite maison dans la campagne. C'est calme et j'aime être là-bas. C'est ma deuxième maison.

Quels souvenirs de votre père chérissez-vous de l'époque où vous étiez enfant ?
Lorsque j'étais enfant, je suis allé sur les tournages plusieurs fois. Une fois, nous étions à Darjeeling pour le tournage de "Aaye Din Bahar Ke". Papa devait tourner dans de l'eau glacée. Il avait pour habitude de boire un petit brandy avant ! Une autre fois, ma sœur et moi étions sur le tournage de "Aankhen". Papa devait tourner un combat avec un tigre. Le tigre est passé à toute vitesse au-dessus de notre chaise et est tombé.

Comment votre relation avec votre père a-t-elle évolué au fil des années ?
Au début, j'étais occupé avec mon travail et on ne dialoguait pas beaucoup. Au fur et à mesure que le temps passe et que nous vieillissons, on commence à mieux se comprendre l'un et l'autre. Maintenant, lorsque je vois mon enfant faire quelque chose qui ne me plaît pas, je peux comprendre ce que mon père a dû traverser.

Pensez-vous que l'on n'a pas rendu justice à votre père ?
Malheureusement, la génération d'aujourd'hui ne connaît pas les films de mon père. Les gens n'y pensent même plus. Ce genre de scénaristes, réalisateurs ou films n'existent plus.

En quoi êtes-vous semblable ou différent de votre père ?
A la base, nous sommes tous les deux honnêtes et nous n'aimons blesser personne. Nous aimons aider les gens. La différence, c'est qu'alors que moi je n'accepte de "conneries" de personne, papa est plus cool à ce niveau-là.

Dharamji personnifait l'héroïsme. Que croyez-vous qu'il manque aux acteurs d'aujourd'hui ?
Avant, les acteurs avaient du charisme. C'est ce qui manque maintenant. Aujourd'hui, tout le monde veut tout faire, il n'y a pas de mystère.

Vos fils sont-ils intéressés par le cinéma ?
Ils sont intéressés mais je ne veux pas leur mettre la pression. Lorsque j'ai commencé dans l'industrie, il n'y avait pas autant de concurrence impitoyable qu'aujourd'hui. Karan va à l'étranger pour suivre des cours de cinéma. Je pourrai les lancer s'ils le souhaitent.

Est-ce qu'un dur comme vous pleure facilement ?
Je suis une personne dont le visage laisse apparaître toutes ses émotions. Je ne peux rien cacher. Oui, les "durs" pleurent. J'ai pleuré récemment. Il y a eu beaucoup de tragédies dans la maison. J'ai perdu des gens proches.

Il n'y a pas d'amis ou d'ennemis permanents dans l'industrie. Le fait que vous soyez à nouveau ami avec Rajkumar Santoshi le prouve.
Il n'y a jamais eu d'inimitié. J'ai eu aussi des disputes avec les Chopra mais ce sont des choses du moment. Lorsque vous êtes blessé, vous réagissez. Je réagis directement, je ne pense pas. Mais le temps guérit tout. Maintenant, Raj et moi discutons de projets mais je n'ai aucune idée de s'ils se matérialiseront ou pas !

Dans quelle mesure êtes-vous féru d'Internet ?
(Rires) Si vous voulez savoir si je suis sur Twitter, laissez-moi vous dire que je n'ai pas la capacité de faire ça. Je ne me vois pas dire aux gens ce que je fais à chaque minute.

Le meilleur de la carrière de Sunny :
- Betaab (1983)
- Arjun (1985)
- Ghayal (1990)
- Damini (1993)
- Ghatak (1996)
- Gadar (2001)