Impression sur votre dernière toile

[Didi]

Dernier post et après je ne t'embête plus, je comprends que l'on ait des blocages intimes et très personnels. Moi, par exemple je n'ai pu voir que les 20 premières mn de 21 grammes de G. Iñaritu pourtant le film, scénario, etc étaient bien ficellés, heureusement pour Babel il en a été autrement.
D'ailleurs j'aime bien ces deux mexicains, Iñaritu  et G. del Toro. De ce dernier, tente ta chance avec L'échine du diable peut-être que tu supporteras mieux.

Si je reposte, c'est surtout pour apporter une précision. Dire "conte de fée" et dire qu'ils sont pour enfant c'est de la connerie en branche. Je m'explique.

Le conte est un récit de tradition orale pouvant être imaginaire, fantastique, merveilleux, moral, etc.
Ceux sont les premiers folkloristes qui, en faisant la collecte de ces contes et heurtés par leur logique spécifique, les ont catalogué comme "contes de fée" ou "contes enfants" et c'est ainsi que les connait le public non spécialiste alors que dans la pratique du contage qui a eu cours jusqu'à une époque récente, les contes s'adressaient à toute la communauté, quelque soit l'âge. Ces contes après avoir été recueillis et catalogués ont été classé selon leur thème, les mobiles récurrant dans le catalogue des contes indo-européens. Par exemple, le conte traditionnel dont s'inspire le film Paheli est connu sous l'appelation "Le mari imposteur".

[Didi]

Caramel
J'ai beaucoup aimé ce film, ces portraits émouvants de femme, débordantes de sensualité, confrontées à leurs choix et à la pression sociale (évoquée avec beaucoup de subtilité, par petites touches), se débattant entre émancipation et tradition. J'ai beaucoup aimé cette ambiance de gynécée, où l'on pénètre dans de le saint des saints féminins et quoi de mieux pour représenter cela que de choisir comme lieu un salon de beauté. Car si c'est effectivement un lieu où les femmes soignent leur apparence, celle-ci n'est une couverture pour cacher leurs peurs, leurs désirs, leur jardin secret.
Si on ajoute à cette superbe histoire un humour doux-amer, une photo magnifique, dans les tons sépia, caramel, chauds comme l'été méditerranéen et une musique, discrète et servant magnifiquement le propos, j'en suis d'autant plus ravie. J'oubliais une scène superbe : le jeune gendarme qui s'aventure dans le génycée et qui n'en mène pas large... ahahah, je ne savais pas qu'une pince à épiler et un sèche-cheveu pouvaient autant impressionner un homme.

J'ai ensuite quitté cet après-midi ensoleillée de juin au Lyban pour me retrouver par une froide journée de février en Roumanie...

4 mois, trois semaines et 2 jours
La palme d'Or de Cannes. Autant dire tout de suite que j'avais de loin préférée celle de l'année dernière, Le vent se lève (d'autant que j'étais reconciliée avec Ken Loach depuis Just a Kiss), bien plus méritée à mon avis...
Le sujet du film, vous en avez peut-être entendu parler, c'est le récit d'un avortement clandestin dans la Roumanie de Ceaucescu. Le film est à l'image de sa photographie, grise, blaffarde, comme cette neige à moitié fondue qu'on voit sur les troittoirs. Son réalisme est sordide à l'image de cette chambre d'hôtel où se déroule la quasi totalité de l'action. Les partis pris du réalisateur (plans séquences avec caméra fixe, excepté dans une scène), justifiés certes, mettent mal à l'aise comme cette position de voyeur sordide que nous occupons tout au long du film...
Bref, je ne suis pas mécontente de l'avoir vu, car le sujet est intéressant et bien traité, mais je n'en consommerai pas tous les jours, en revanche, pour ce Caramel, j'en reprendrai plus sans problème.

[Suraj974]

Je suis allé au ciné voir le dernier Jason Bourne
J'ai beaucoup aimé ! bon la caméra portée à l'épaule est toujours excitée, mais il y a des purs moments  dans Waterloo station notamment, et la poursuite dans Tanger 
Et puis la fin avec le Héros tout puissant à la massala m'a bien plu comment quoi ya vraiment des truc universels
La musique est trop bien aussi ! dès que Jason Bourne apparait ya des percussions qui s'excitent (vu que la moitié du temps li cours pour échapper à qqch ou pour attraper qqch) c'est marrant. La chanson theme de MOby est vraiment pas mal aussi je suis pas un fan de moby mais là ca colle bien aux images.

[Leela7]

J'ai été voir le dernier Rohmer Les amours d'Astrée et de Céladon

Moi qui aime beaucoup la langue, la littérature et l'histoire, j'ai été comblée. La mise en scène est complétement décalée (d'ailleurs, on nous prévient dès le début avec le texte du début du film)...à l'image de l'oeuvre littéraire qui était pour l'époque elle aussi décalée.
Les acteurs sont bons mise à part celle qui joue Astrée....
Et pour les filles.....Céladon est beau comme un dieu..... je crois que je vais pas m'en remettre (au fait, si quelqu'un connait l'acteur.... ).
Excellent de voir qu'on peut parler et comprendre le français du XVIème siècle...

[Suraj974]

En me baladant sur dvdrama j'ai lu les commentaires d'un spectateur qui a vu le dernier Jason Bourne... c'est asses fendard (je m'esclaffe)
http://www.dvdrama.com/rw_newsforum-254200-preci-jonzac.php
quelques extraits :

Ce con-là avait éteint son Motorola un matin en Italie , ce qui prouve que c 'est lui que Bourne espère trouver .

Il la lourde sur une aire d' autobus sans qu'une seule parole ne soit échangée : il est vraiment fort ce Jason Bourne ! il a un don naturel pour rompre avec ses meufs , et ça c 'est pas un stage de survie façon C.I.A. qui peut te l' apprendre .

Ces restes constitueraient un beau trophée pour n' importe quel pyromane qui se respecte . Ouais. Sauf que Bourne ,lui, il retrouve le seul morceau de papier pas encore calciné .
Y a un truc à lire dessus . Ca aurait pu etre "penser à acheter du fil dentaire" , une parcelle de grille de sudoku , voire un ticket-restau .
Nan , nan ... c 'est : "C.I.A. New York" . C 'était le seul truc qu'il fallait pas qu'il sache , c 'est le seul truc qui ait pas cramé !

Après plusieurs millions de dégats matériels et quelque chose comme l' équivalent d' un malus de 150 points au permis de conduire , Jason continue sa marche vers la vérité

Jason arrive devant un type qui lui dit : " souviens-toi" .
Jason se souvient.
Jason s' en va .
Jason va sur un toit de la C.I.A.
Jason se fait tirer dessus .
Jason est sous l' eau , Jason boit la tasse , comme au début de " la mémoire dans la peau " . Il transforme ses poumons en branchies plutot que de remonter à la surface où on joue du Moby à fond (autrement dit pas la meilleure façon qui soit de terminer en beauté) .

[Kiddie24]

La vérité ou presque, un beau film, simple et sans prétention, sur les petits drames et anicroches des relations humaines. C'est bien filmé, bien écrit, des dialogues parfois assez drôles, et des situations vaudevillesques traitées avec brio.

[Maya]

The last legion

Le péplum avec Aish, atout majeur du film, aux dires de mon cher et tendre. C'est un péplum anglais à l'image de leur cuisine, c'est-à-dire des ingrédients qui, cuisinés autrement auraient pu donner quelque chose de bien, là c'est un peu fade. La réalisation est plate, la musique pompeuse et les acteurs font ce qu'ils peuvent pour sauver le film, mais ça se laisse regarder, selon mes goûts, bien meilleur que les 4 fantastiques que j'ai vraiment trouvé indigeste.
Colin Firth reste très classe même s'il a pris un petit coup de vieux, mais les redingotes d'Orgueil et préjugés lui vont mieux que l'armure romaine et là on avait pas de scène avec la chemise mouillée.
Quant à Aish, ce genre de rôle (guerrière) ça change  D'abord, le premier choc, c'est de la voir doublée en espagnol (première crise de rire), ensuite elle n'est pas passée à la poudreuse à blanchir et ça se voit, d'ailleurs ça lui va très bien et la coiffure avec les cheveux tirés en arrière met en valeur ses yeux. Autre choc, c'est impressionnant de la voir se battre à l'épée et autre dague, gare à celui qui s'approche d'elle comme le Goth qui n'a rien compris et qui se retrouve embroché 
Ensuite, elle est très entreprenante : elle perd son cheval et sur le plan suivant on la voit agrippée comme une sangsue à Colin Firth, d'ailleurs elle va même jusqu'à prendre l'initiative d'aller se glisser dans son lit (le plan suivant a été coupé  ).
Bref, ce n'est pas la bouse sans nom annoncée par DVDrama, mais ce n'est pas non plus le film du siècle.

Je suis d'accord avec ton cher et tendre, heureusement qu'il y a Aish dans le film 
Sinon je suppose que c'est dur de passer après Le seigneur des anneaux et autres Troie qui vraisemblablement bénéficiaient de moyens financiers d'une autre ampleur. Là, les décors font un peu pauvres et les scènes de combat "à grande échelle" sentent la tablette graphique (et un peu Lancelot, en moins bien). Mais les combats au corps à corps sont très biens, bravo Aish 
La seule trouvaille scénaristique se trouve dans l'épilogue, ne partez pas avant la fin   

[Suraj974]

Ha eh bien je constate que "la dernière légion" présente toutes les caractéristique d'un film que je ne verrais pas !

[Señorita]

Mais si, faut que t'ailles le voir ! Rien que pour pouvoir ensuite déchirer les 35 000 affiches qu'il y a à gare du nord 

Bon alors, ces dernières semaines, j'ai vu..

The last légion (quand on parle du loup...)

Bah ouais... bon, c'est un film franchement loin d'être bien. C'est pompeux, tellement d'ailleurs que c'en est risible et que j'ai explosé de rire plusieurs fois ! N'étant pas de la gente masculine, j'étais pas les yeux rivés sur Aish en permanence et Colin Firth étant peu avantagé dans le film, disons que j'avais pas grand chose pour rattraper. Mais les combats au corps à corps étaient bien, parce qu'Aish, bah elle tue tout (c'est le cas de le dire). Bref, c'est le genre de navet marrant à regarder entre potes pour passer du bon temps 

Ceux qui restent

J'ai bien aimé ce film qui traitait avec délicatesse un sujet relativementcompliqué pouvant prêter facilement au pahos. Alors oui, elle évite tellement le pathos que ça peut en devenir gênant mais j'ai pas été plus choquée que ça. Surtout que les deux acteurs sont vraiment excellents. Dpuis que j'ai vu Emanuelle Devos au théâtre j'suis plutot admirative de son travail, j'aime beaucoup Vincent Lindon, et ils ne m'ont pas deçue.

Waitress

Un film drôle et touchant à la fois. Une belle réussite je trouve aussi bien au niveau du scénario qui évite l'écueuil de "je vais quitter mon mari pour mon amant", et cela résulte assez original comme fin. Le concept des tartes est bien mis en scène et donne particulièrement faim (je veux une tarte "alone at chicago"++> myrtilles-chocolat....) et la chanson du milieu ravissante (je la chante souvent d'ailleurs). A cela s'ajoute une photo très joli, particulièrement dans la scène de la chanson. Bref, j'ai vraiment aimé

Caramel

Avec Waitress, mon petit coup de coeur de la rentrée. Un film chaud, avec une superbe photo dans les tons miel Des actrices très naturelles (d'ailleurs, elles ne sont pas professionelles). Des histoires droles mais aussi touchantes, et qui au final permettent de sortir de la salle le sourire aux lèvres. Une très jolie musique aussi. Bref, tous les ingrédients sont réunis pour avoir un petit bijou. Accessoirement, l'actrice principal est magnifique et dégage une sensualité de fou... 
Ah ouais, par contre, l'épilation orientale ça doit tuer les jambes  J'avais mal rien que de les voir le faire !

4 mois, 3 semaines, 2 jours Alias 432 dixit quelqu'un que je connais bien 

Entre ça et Caramel, y'a un fossé énorme, c'est le jour et la nuit. 432 c'est dur. Dur dans le propos, dur dans le sujet mais surtout dur dans les partis cinématographiques. C'est "je te plante la caméra et tu n'as pas d'autre choix que de regarder la scène". Donc ça devient éprouvant par certains moments. Néanmoins, ça reste quand même un bon film, surtout grâce à l'actrice principale, excellente, et à l'empathie qu'on ressent pour elle.


Voili voilou

[Kiddie24]

Waitress, je rejoins Señorita sur le fait que c'est un film bien agréable, qui évite certains pièges un peu faciles du thème mari-amant.

Le goût de la vie, pas un chef d'oeuvre, mais une bonne comédie romantique, un film qui lui aussi met en appétit. Ça reste tout de même un peu léger sur les rapports, maladroits, qui s'établissent entre cette femme et sa nièce. Et puis c'est sans grande surprise sur le déroulement et la conclusion de l'histoire.

[kendra]

J'ai réussi à convaincre mon petit entourage de laisser tomber l'idée de La dernière légion , pour plutôt aller voir L'âge d'homme.
J'en avais lu des critiques assassines, mais Romain Duris oblige, je voulais absolument me faire une idée. Evidemment que ce film n'a pas plu à tout le monde, c'est un film typiquement parisien, et même, complètement bobo...ça tombe bien, c'est plutôt dans cet univers que j'évolue, et j'ai retrouvé dans les questionnements de Samuel, 30ans, réticent à l'engagement, tous les doutes des hommes que je connais, ça en était même flippant...
Ce film est totalement dans la lignée de Klapisch, en un peu moins bien tout de même, mais j'ai passé un excellent moment, j'ai beaucoup rigolé, j'ai compris deux trois choses de la vie lol (séquence émotion), et ça fait du bien de voir un film parler du couple sans tabous...
Pour en revenir aux critiques, je les comprends mieux. Je ne suis même pas sure qu'un parisien du 16ème (et encore moins un banlieusard) puisse être sensible à ce film qui pose et répond à des questions très ciblées...Donc, je n'ose même pas imaginer le trentenaire de Clermont Ferrand... C'est vraiment typique du parisien du 5è, 11è, 13è etc etc etc..enfin, je me répète mais, en gros, les quartiers bobos...
Enfin, faisons bref, très bon film, je me suis régalée et en plus qu'est-ce qu'il est beau Romain 

[Didi]

Effectivement, Kendra, les critiques pour L'âge d'homme étaient assassines. J'irai voir R. Duris dans le prochain Klapish qui devrait sortir en février 2008 
Hier, j'étais plus que furieuse  je voulais voir la comédie anglaises Joyeuses funérailles mais elle n'est distribuée qu'à 48 copies et du coup, pas de cinéma proche de chez moi, si ce n'est en plein cœur de Paris, ça m'énerve 
Du coup j'ai dû me rabattre sur Un cœur invaincu
Le film est bien, tourné caméra au poing, dans le style reportage, pour les séquences consacrées à la recherche de Daniel Pearl, en alternance avec des scènes d'intimité : l'angoisse de sa femme, des flash backs sur le couple. On a quelques plans d'ensemble sur Karachi qui donnent l'impression d'une fourmilière grouillante où tout peut arriver. La performance de A. Jolie est juste, elle arrive à nous transmettre son angoisse et on arrive même à oublier le dénouement connu d'avance, mais elle ne mérite pas un oscar, ce rôle l'a fait changer de registre mais ce n'est pas non plus un grand rôle. Archie Panjabi, que l'on a déjà vu dans Fish and Chips, Bend it like Beckham et The Constant Gardener, était très bien, dans un rôle similaire, d'ailleurs à celui qu'elle interprétait dans le film de F. Mireilles.
Bref, le film est bien, mais il manque un je-ne-sais-quoi pour en faire un très bon film.

[Leela7]

Je me suis fait un week-end cinéma.

D'abord un film chinois à Paris (Clin d'oeuil à Suraj, j'ai trouvé !!!!!!! ).Missing Gun: Très spécial dans la mise en scène. Des choses intéressantes. On dirait que le réalisateur essaie tout ce qui lui passe par la tête...du coup, ça paraît incohérent mais avec plein de bonnes idées. Pour l'histoire, un flic qui perd son pistolet. (Où est-ce que j'ai mis mon flingue?)

Puis Les méduses: mon coup de coeur du moment. Décidement, le cinéma israélien nous surprendra toujours. Très onirique, on en sort très léger et souriant sans trop savoir pourquoi. Les acteurs sont excellents. A voir.... en se laissant porter comme une méduse. Je pense le revoir.

Et enfin 4 mois, 3 semaines et 2 jours. Un choc, une tension insoutenable parfois.Une actrice principale excellente. Rien à ajouter à ce que Senorita a écrit.

[Didi]

Salvador
A ne pas confondre avec le film homonyme de O. Stones. Salvador, qui est sorti en Espagne et qui devrait sortir un jour où l'autre en France, retrace les dernières années la courte vie de Salvador Puig Antich, jeune militant anarchiste, dernier prisionnier politique à avoir été exécuté par garrot sous l'Espagne franquiste déjà moribonde.
Je vous fais une petit review sur ce film que nous avons vu en DVD Señorita et moi au cas où un jour il sortirait en France et que vous auriez envie de le voir, car il en vaut la peine.

Salvador est un idéaliste. Avec un groupe d'ami, il décide de prendre les armes pour se transformer en Robin des Bois des temps modernes. Leur objectif : braquer des banques pour redistribuer l'argent afin aider la résistance anti-franquiste, les ouvriers militants. Leur devise : la fin justifie les moyens.
Au cours d'un braquage qui tourne mal, une fusillade a lieu entre les militants anarchistes du Mil (le groupe créé par Salvador et ses amis) et Salvador est arrêté, en prison il raconte à son avocat son engagement et ce dernier prend fait et cause pour lui d'autant que Salvador est condamné à mort. Avocat, famille du condamné, des militants antifranquiste, des gens simplement indigné par cette peine de mort vont se jeter dans un ultime combat pour tenter d'obtenir la grâce du condamné...
Le film est très poignant grâce à une bonne réalisation qui restitue à Salvador, devenu avec le temps un martyr du franquisme, son humanité dont ce garrot l'a privé. L'interprétation de Daniel Brülh remarquable. La photo, très travaillée pour donner l'impression d'un document d'archive, excellente. Il n'y a que la scène de l'exécution que je n'ai pas supportée et que je n'ai pas regardée.

[lalita]

Holà que tal !

Moi j'ai regardé 28 semaines plus tard.
Film anglais très sympathique et gore à souhait !! Comme l'a déclaré l'un des critiques du "Cercle", le film est idiot ! Je m'explique : 28 semaines à peine après l'extinction d'un virus en Angleterre qui a transformé ses habitants en zombie, les autorités décide de repeupler Londres en faisant revenir progressivement des habitants ( ). Un père de famille (après une mésaventure au combien choquante dans laquelle il a perdu son épouse) fait revenir son fils de douze ans et sa fille. A cause de l'attitude au combien idiote des deux marmots, le virus réapparaît au sein de la petite communauté en train de se former. L'armée américaine, en charge de protéger la population est vite dépassée. Le virus se propage rapidement. Le seul moyen de l'arrêter: buter tout le monde !!
C'est ainsi que commence la véritable course poursuite pour échapper aux zombies et à l'armée. C'est hardcore total, jouissif et complètement dingue. Evidemment, l'allusion à l'Irak est sous-jacente (moi je ne l'aurai pas vu si je ne l'avais pas entendu, mais effectivement les soldats finissent par tirer sur toute personne jugée suspecte. Les innocents se retrouvent donc coincés entre l'armée et les terroriste / les zombies. Et... ça défouraille de partout !!!!)

Un bon film pour célébrer la fête du cinéma !!