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Je viens de voir Sandwich avec Govinda, Raveena Tandon et surtout Mahima Choudhry (inutile de préciser que c'est elle qui m'a fait acheter le film). J'ai été plutôt agréablement surpris. Je n'avais vu aucun film avec Govinda et la mauvaise réputation de cet acteur ne me donnait pas une envie folle de découvrir ses films. Mais là Mahima m'appellais, je l'entendais dans le magasin "JB JB prend ce film" ce que j'ai fait. Après quelques mois passés sur mon étagère (les "JB JB met ce film dans le lecteur" ayant moins bien marchés) je décide de le regarder. Au final j'ai beaucoup ri devant cette comédie bien lourde mais très drole. Les gags sont tirés par les cheveux comme ça n'est pas permis, mais comme toujours plus c'est gros plus c'est drole. La deuxième partie souffre d'un petit essoufflement par rapport à la 1° mais bon avec une comédie de 2h30 on ne peut pas s'attendre à ce que le rythme soit soutenu du début à la fin.
Sandwich est donc un film sympathique qui se regarde sans prise de tête (avec en prime la trop rare Mahima (oui je sais ça tourne à la propagande )).

J'ai vraiment passé un très bon moment devant Baabul. Ca faisait longtemps que je n'avais pas tant pleuré devant un bollywood. La première partie est très bonne, j'apprécie Salman de plus en plus, mais c'est vrai que la deuxième est un peu baclée sur certains points (spoiler  je n'ai toujours pas compris comment elle était passé du "tu es mon meilleur ami" à "je vais t'épouser") heureusement ça n'a pas gaché mon paisir grace à certaines scènes vraiment émouvantes.
Salman et Rani s'en sortent très bien, mais Amithab est tout simplement parfait. Il est émouvant et drole (selon les scènes) et prouve encore une fois avec ce film qu'il mérite toute le reconaissance qui lui est accordée, il est impressionnant dans la scène de l'hopital, en deux plans il réussit à faire ressentir toute la douleur qu'éprouve son personnage sans verser une larmes (j'en connais un qui devrait s'inspirer de ce grand acteur).
La réalisation est bien et Ravi Chopra n'en fait pas des tonnes, il s'arrete juste où il faut pour que les scènes dramatiques ne deviennent pas indigestes. Les clips sont aussi très bon (à l'exception des deux de John Abraham qui sont assez moyens).
Bref sans être parfait je trouve que ce Baabul est une réussite.

A une semaine d'intervalle sont sortis les deux Elections de Johnny To, deux films que j'attendais.
J'ai été très surpris en les voyants. Connaissant quelques films du réalisateur (Fulltime killer, Heroic trio, Executionner, PTU ...) j'avais une petite idée de ce que j'allais voir ... mais pas du tout, Johnny To surprends avec ces deux films. Il n'y a aucune fusillade, très peut d'action mais beaucoup de magouilles et de complots pour réussir à obtenir le pouvoir (dans le premier) et essayer de le garder (dans le deuxième). Ces deux films sont assez lents, ce qui déroute quand on connais le réal, mais le plaisir est quand même présent tellement les histoires et les rebondissements sont jubilatoire (l'évolution d'un personnage entre le 1° et le 2° volet est tout simplement hallucinante).
Johnny To a abandonné pour un temps les films  survoltés mais pas la testostérone (seulements deux personnages féminin pas très présentes pour les deux films) ce qui n'est pas un mal. Ayant été très déçu par PTU et Breaking news ça me fait plaisir de retrouver Johnny To en forme pour ces films.

J'ai beaucoup aimé ce film. Le début laissait présager le pire mais dès qu'ils arrivent à New-York ça devient vraiment sympas. Salman est très drole (le passage quand il est déguisé en femme est à hurler de rire) et Akshey que j'apprécie moyennement est plutôt bien lui aussi. Preity comme toujours est super mignonne et fait ce qu'elle peut avec un rôle que je trouve pas très original (le principal du film s'axant sur le duo Salman/Akshey).
Par contre le gros point faible est la musique, je n'aime vraiment pas les chansons et les clips ne m'ont pas emballés.
J'ai vraiment passé un très bon moment devant ce film qui a été une bonne surprise.

Pour continuer à confirmer mes gouts de chi... j'ai passé un plutôt bon moment devant ce Dhoom 2. C'est sur il n'y a rien à sauver dedans (surtout Aish insupportable de parler d'elle à la 3° personne) quoi que les clips sont assez fun (au 2nd degré bien entendu). Cest sur c'est un navet de la pire espèce mais il m'a bien éclaté (la scène d'ouverture est quand même un grand moment de franche rigolade).

Et Maggie Cheung est sublime et je trouve qu'elle a  une classe folle.

Hier soir j'étais à la soirée d'ouverture de la rétrospective et j'ai eu le plaisir d'y voir Bong Joon-ho le réalisateur de The host. Il etait venu parler brièvement de Kim Ki-young dont il était un très grand fan. Etaient aussi présent le fils de Kim Ki-young, Lee Hwa-si actrice fétiche du réalisateur et Kim Hong-joon conseiller du KOFIC (Korean film council, équivalent de notre CNC) et co-programmateur de la retrospective. Ils ont parlé brièvement de la genèse de cette retrospective et du réalisateur. Ces inerventions, bien que courtes, étaient une bone mise en bouche pour la table ronde qui aura lieu ce samedi à 16h.

Après cette présentation on a eu le droit à la diffusion d'un film de Kim Ki-young, L'ile d'I-eoh: Accusé du meurtre d'un journaliste, un architecte se rend sur l'ile natale du defun. Une légende y circule et dit que les hommes de la famille du journaliste était maudits. L'ile d'I-eoh les appelleraient pour les faire se noyer. L'architecte essaye de reconstituer la vie du journaliste pour prouver son inocence.
Lile d'I-eoh est un film étrange et complexe. La narration s'effectue à travers plusieurs flashback n'ayant pas les même sources et ce au sein même d'un autre flashback. L'histoire du journaliste se constitue petit à petit et de manière non linéaire. On cherche donc à savoir qui l'a tué si il y a vraiment malediction ou non, qui sont ces personnages étranges et majoritairements féminins qui ce sont succédés dans sa vie. J'ai beaucoup pensé à L'ile de Kim Ki-duk (autre réalisateur de l'héritage Kim Ki-young) pour l'ambiance isolée et malsaine du métrage, d'ailleur le final glauquissime à souhait aurait tout à fait sa place dans un de ses films. J'ai maintenant hate de découvrire les autres films programmé dans les jours qui suivent.

Je ne sais pas dans quelle rubrique mettre ce sujet alors je le met ici car même si ça n'est pas du 100% Bollywood je ne pense pas que ça mérite de se retrouver das l'arène de la mort.

Mk2 édition vient de sortir son 2° coffret consacré au réalisateur américain James Ivory. La particularité de ce coffret est qu'il regroupe 4 films tournés en Inde par le réalisateur:
Chaleur et poussière: En Inde dans les années 1920, Olivia, mariée à un collecteur d'impôts anglais, tombe sous le charme du prince de la région ... Bien des anées plus tard, Anne, sa nièce, part sur les traces de cette mystèriause hétoïne, sans se douter qu'elle conaitra un destin similaire.

Bombay talkie: Lucia Lane, écrivain britanique, se rend sur le tournage à Bollywood, à la recherche d'inspiration pour son prochain roman. Elle y rencontre Hari, scénariste qui se propose de la guider, mais elle n'a d'yeux que pour Vikram la star du film. Cependat celui-ci est marié à la jeune et belle Mala ...

Shakespeare wallah: Au lendemain de l'independance de l'Ide, une troupe d'acteurs shakespeariens se retrouve cofronté à la modernisation du pays et au rejet de la culture britanique.

The householder: A Delhi, Prem vient d'épouser Indu, une jeune femme belle et pleine d'esprit. Pourtant il a bien du mal à comprendre sa jeune épose et lutte contre le poids des responsabilités que lui cofère son nouveau statut de chef de famille.

La caractéristique de ces 4 films est qu'ils sont tous interprété par Shashi Kapoor et dans "Bombay talkie" le rôle de l'auteur anglaise est tenu par Jennifer Kendal sa femme. Le coffret est très beaux et les bonus (interviews, courts- métrages et même un téléfilm d'Ivory ...) ont l'air très interessants.
J'ai hate de découvrire ces films tellement j'ai aimé ceux du premier coffret.

Je l'ai efin vu et j'ai beaucoup aimé surtout grace à un Sahrukh Khan que j'ai trouvé étonnant dans ce film. Au début il est tout simplement détestable pour deveir ensuite irrésistible (voir la chanson ou il est ivre par exemple). Priyanka Chopra est elle aussi irrésistible mais pas pour les mêmes raisons, elle embelli de films en films (et son jeu s'améliore de films en films aussi je trouve). Les scènes d'action sont très bien faites mais le film est par contre un peut trop long (défaut commun à bon nombre de bollywoods). J'ai passé un agréable moment face à ce Don 2006 et je me suis bien amusé à chercher les ressemblances (ou clins d'oeil) à l'origial.

J'ai reçu le programme des mois de novembre et décembre de la cinémathèque et j'ai eu la surprise de voir qu'il y a une rétrospective d'un réalisateur coréen ayant commencé sa carrière en 1955: Kim Ki-young. Ne conaissant pas ce réal ni le ciné coréen classique (il faut avouer que les programmations française aussi bien au ciné qu'en dvd ne s'attardent que sur la nouvelle vague coréenne), je suis bien content de pouvoir le découvrir. D'après le facicule de la programmation Kim Ki-young serait "un entomologiste cruel" et le "père spirituel des enfants terribles du cinéma coréen cotemporain" ... tout un programme donc.
La rétrospective commencera le 29 novembre pour se terminer le 23 décembre et proposera 18 films du réalisateur. Parallèlement seront présentés des films des "héritiers de Kim Ki-young" dans lesquels on retrouvera "Lady vengeance" précédée de "Le jugemet" un court métrage de Park Chan-wook, "Printemps, été, automne, hiver ... et printemps" de Kim Ki-duk ou encore "Une femme coréenne" de Im Sang-soo.

Je voulais le prendre mais on m'a dit que la seule chose qui bougeait dans le film était le générique de fin...

et encore ...  :cry:

C'est pas ça qui va me convaincre de le mettre dans mon lecteur (je l'ai acheté parceque j'aime bien Vivek mais là ça me décourage vraiment malgré le nombre de daubes incalculable que j'ai pu voir ... et même apprécier pour certaines  :oops: ).

De toute façon beaucoup de stars ont un passé peut glorieux au début de leurs carrière, par exemple Stallone et Mel Gibson ont commencé chacun par un film érotique alors je pense qu'on peut pardonner ce petit écart à SRK (dire que dans 10 ans d'autres diront peut être ça d'Emraan qui sera devenu le nouvel indian lover :p)

jibi4. je vais faire comme toi. Je vais me faire une après midi spécial daube SRK avec Josh et Maya Memsaab  

Josh j'ai jamais réussit à arriver à la fin (malgré Aish et SRK), c'est d'un ridicul achevé et SRK est pas très crédible, comme quoi même les plus grand ont leurs moment de faiblesse. Heuresement il en reste pleins de bon pour se faire des journées chef d'oeuvre.

Lalita cadeau :

Voilà les fesses du Shah sans avoir besoin de voir Maya Memsaab

http://www.youtube.com/watch?v=e8wwfPsnfDs

PS : je déconseille cette scène pour ceux qui ne l'ont pas encore vu (et aussi ceux qui ont des enfants ou des personnes agées autour   ). Voilà comment casser tout un mythe en 30 secondes  

Non mais maintenant c'est obligé je dois trouver ce film qui m'intrigue au plus haut point. Même les filmographies d'Emraan et de Mallika (au début) réunis c'est de la gnognotte à coté de cette scène. J'ai été obligé de la voir deux fois pour être sur d'avoir bien vu ce que j'avais vu. Donc Maya Mamsaab fera parti de mes prochains achats si je le trouve.

La trilogie du sabre composée de "Tuer", "Le sabre" et "La lame diabolique" vient de sortir à bas prix, je me suis donc procuré les trois volet.
Pour l'instant je n'ai vu que "Tuer" et j'ai été stupéfait par la beauté plastique du film. Certains plans sont à couper le souffle. L'histoire ne m'a pas vraiment emballé mais la force des image a suffit à me scotcher à mon fauteuil. D'ici peut je vais regarder les deux autres volet en espérant qu'ils soient visuellement à la hauteure du premier.