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Sujets - Didi

#1
Je propose que l'on vienne poster sur ce fil les vidéos ou photos insolites que nous rencontrons au fil de nos navigations  ;) ;)

Je commence avec une vidéo de Kanelios, le chien manifestant grec

http://www.youtube.com/watch?v=lFd0hztEUWk

le chien "assiste" à toutes les manifestations et veut manifestement en découdre avec les forces de l'ordre  ;) ;)
#2
Citation de: Ghanan le 28 Janvier 2010 à 22:17:09

Edit : Des nouvelles du prochain film de Bala (résumé par mes soins depuis l'anglais donc bon ^^ )
ça s'appellera donc Avan Ivan,
cast : Arya, Vishal, Janani Iyer, Ambika & Prabha
Photo : Arthur Wilson comme d'habitude
musique  : Yuvan Shankar Raja (Rhoo c'est celui qui chante Neethaane ! ^^ )
dialogues : S Ramakrishnan
prod : AGS Entertainments / Kalpathi S.Aghoram

Il a affirmé lors d'une conférence de presse hier que ce serait une comédie réaliste, plus proche de ses films du début ,
que Arya et Vishal étaient frères dans le film et qu'il comptait le terminer en 8 mois , ce qui a fait rire l'assemblée puisqu'il est apparemment connu pour prendre deux ans minimum .
Le tournage commencera en février, mais il lui manque encore une héroine si j'ai bien compris  !

source : http://www.tamilkey.com/bala-launches-avan-ivan.html

Je remets le message de Ghanan et les autres infos que j'ai glanées sur le film  ;) ;)

Un lien pour la conférence de presse
http://www.chennaionline.com/video/index.aspx?vid=1782&Title=Bala%27s%20%27Avan-Ivan%27%20-%20Press%20Meet&Page=0


Photos et résumé tirés de Paris Tamil Cinema (http://www.paristamil.com/cinema/news/index.php?id=722)


CitationLe gagnant du meilleur réalisateur au National Awards Bala a déclaré le commencement de son nouveau projet "Avan Ivan".

"Le film disposera de Vishal et de Arya dans les rôles principaux. Il sera achevé dans six mois, à la différence de mes films précédents, ' Avan Ivan ' contiendra plus d'humour, bien qu'il y ait de l'action et une histoire basée sur les liens familiaux" nous explique-t-il.

Il a seulement révélé que 'Avan' est Vishal et 'Ivan' est Arya. Le film est produit par Kalpathi S Agoram pour AGS Entertainers. Le tournage aura lieu aux environs de Thenkasi et Sengottai. Janani Iyer est l'une des héroïnes. La deuxième actrice n'a pas encore été engagée. La musique est composée par Yuvan Shankar Raja.
La photo de la nouvelle héroïne


et la fine équipe  ;) ;)


#3
On va ouvrir un fil sur ce film, ça nous aidera à patienter  :mrgreen: :mrgreen: (parce que là, va falloir faire du yoga  :mrgreen: :mrgreen: le film devrait sortir pour le mois de mai ou juin, s'il n'est pas repoussé  :mrgreen: :mrgreen: et d'ici à ce qu'on l'ait avec sous-titres allez, on pourra peut-être espérer le voir l'année prochaine)

le casting :
Arya, Amy Jackson, Nassar, Cochin Hanifa, Bala
le réalisateur : A. L. Vijay
le pitch : un paysan du Tamil Nadu tombe amoureux d'une anglaise à la fin de la période coloniale.
Bon, on en sait pas beaucoup plus et les photos ne sont guère plus explicites
On sait que Arya va pratiquer la lutte légèrement vêtu

Que de fricoter avec l'anglaise va lui attirer les ennuis


Et puis au cas où on n'aurait pas compris que c'est un film historique, on nous colle Arya devant une carte de l'Inde coloniale  :mrgreen:

#4
Bollywood / Rajneeti
26 Janvier 2010 à 16:37:09
Voici la BA officielle avec sous-titres anglais qui a l'air alléchante... d'autant que le thriller politique n'est pas un genre qui foisonne dans le ciné hindi. On verra bien, les films avec un arrière-plan politique peuvent gonfler (Sarkar Raj) comme ils peuvent être tout à fait réussi (je n'ai pas d'exemple)  :sorry: :sorry: mais bon, vu le casting, j'espère que ce sera bien
http://www.youtube.com/watch?v=ShqruAU_1_I&NR=1
#5
Culture asiatique / Parlons chiffon
25 Janvier 2010 à 21:11:57
Pour répondre à la demande de Sutti qui voulait parler chiffon sur le forum, j'ouvre ce film où l'on pourra venir poster et discuter des différentes tenues, bijoux, etc. des actrices (et acteur aussi pourquoi pas  :mrgreen: :mrgreen:).
Voici les tenues de Trisha, alias Miss Nemo, qui attisent notre convoitise. Ben ouais, elles nous iraient tellement mieux qu'à Trisha  :mrgreen: :mrgreen:







Moi, ce que je convoite le plus, ce sont les bijoux de la photo 2 et 3  ;) ;)
#6
En regardant la vidéo de Vijay et Lawrence, je suis tombée sur ce top 10 des danseurs du Sud
http://www.youtube.com/watch?v=QTetwwkVbkc&feature=related
Si le trio de tête est incontestable, il y en a d'autres qui méritent une meilleure place, par exemple Surya  :) :) (mais, c'est vrai que dans le Sud, la concurrence est rude)

Après on pourra faire un top 10 top 5 des danseurs du Nord.
#7
Musique / Vos 3 dappas préférés
17 Septembre 2009 à 19:34:15
Allez, on va changer un peu et s'aérer les oreilles. Je vous propose le petit sondage suivant : Quels sont vos trois dappas préférés?
Pour ceux qui ne connaissent pas le dappa, pas grave, il vont découvrir car on va essayer, dans la mesure du possible, de mettre des liens pour voir et entendre.
Bon, je commence
1) Ava Enna (Vanaraam Ayiraam)
http://www.youtube.com/watch?v=iK7J2ms2SJA
c'est mon préféré, vraiment bien loin au dessus des autres pour la musique, pour Kharthik, pour Surya, pour séquence de cinéma sublime, bref, je suis accro depuis le premier jour

2) Dei Namma (Pattiyal)
http://www.youtube.com/watch?v=YEsoafQXjwk
Parce que Bharath et Arya bougent super bien, parce que j'aime leur film, un super drame, et qu'il faut préférer les machettes au revolvers  :lol: :lol:

3) Appadi podu (je crois que c'est ça, de Guillie)
http://www.youtube.com/watch?v=mlxLRqFgrJE
parce qu'il donne une pèche incroyable, que Vijay est un sacré danseur et que miss Némo est pas trop chieuse sur ce coup-là  :mrgreen: :mrgreen:


#8
Arène de la Mort qui tue / Lectures d'été
09 Juillet 2009 à 15:25:47
J'ouvre ce topic pour parler de nos lectures d'été, sur la plage, au soleil, etc. et de nos conseils à ce propos.


Mon conseil


Un essai très agréable à lire qui montre comment une poignée de réalisateurs audacieux s'est opposé au système hollywoodien des studios et comment certains, tels Lucas, ont renoncé à leurs principes pour créer le blockbuster moderne.
Il y a plein d'anecdotes sur les dessous de Taxi driver, Bonnie & Clyde, Star wars etc.
Si vous voulez savoir à quel point D. Hopper était ravagé pendant le tournage de Easy Rider, comment Coppola a pété les plombs sur le tournage de Apocalypse Now, comment le caméraman de Star Wars tournait Lucas en bourique ou comment Cimino a coulé la UA, ce livre est pour vous...
#9
Sur canal+, pour la séance coup de cœur, le présentateur vous énonce 5 bonnes raisons de découvrir le film. On va faire la même chose sur ce topic avec le ciné du Sud

Je commence
1) le sud excelle dans le genre des drames sociaux néo-réalistes
2) de très bons acteurs-danseurs
3) très bonnes séquences chorégraphiées (en général dappa)
4) un dépaysement total dans le style vestimentaire, avec une notion du goût bien particulière
voyez la photo  ;) ;)

5) on peut voir des choré avec des vaches sacrées qui dansent  :lol:
http://www.youtube.com/watch?v=OcNYbHpGHPo
#10
Cinéma indien / 10 meilleurs films romantiques
10 Juin 2009 à 09:56:09
Le site Indiatimes vient de publier un classement des 10 meilleurs films romantiques du ciné hindi (de tous les temps).
Voici le classement :
http://movies.indiatimes.com/Features--Events/Features/Top-10-Romantic-Bollywood-Movies-of-All-Times/articleshow/msid-4617603,curpg-1.cms

Sans surprise DDLJ arrive en tête, mais je trouve discutable la place d'autres classés (comme Sisila ou Devdas).
ET vous quels sont vos 10 films romantiques préférés? (On peut élargir à tout le ciné indien et pas exclusivement ciné hindi)

PS : j'éditerai quand j'aurai plus de temps pour poster ma liste.
#11
Bon alors, je ne chante pas aussi bien que Surya http://www.youtube.com/watch?v=Kn6MwNofCes
mais après le Señorita de Shahrukh, le Señorita de la Superstar, on pouvait bien convoquer un autre beau gosse pour venir te souhaiter un bon anniversaire  :dance: :dance: :dance: :dance: :dance: :dance: :dance: :dance: :dance: :dance: :dance: :dance: :dance:
#12
CitationIl faut arrêter de se voiler la face, JC. Un oscar n'a pas la même portée qu'un César ou qu'un Goya (je te mets au défi de me dire quel est le Goya du meilleur film cette année ^^), il apporte une reconnaissance internationale que n'apporte pas les autres prix (excepté ceux du festival de Cannes). Tu le soulignes toi-même de façon contradictoire. Maintenant, c'est au cinéma indien (toutes régions confondues) de s'ouvrir au reste du monde. Effectivement, un film comme Kannathil Muthamital a toute sa place dans un festival, mais il faut aussi que le cinéma tamoul fasse un effort pour s'ouvrir. Nous, nous savons que les techniciens du Sud sont les meilleurs, d'ailleurs l'ingénieur du son récompensé pour Slumdog est du Kerala (autre région de bon cinéma), mais il faut le faire savoir, en particulier grâce à des événements comme l'Eté indien du Musée Guimet, pour petit à petit amener les cinéphiles à connaître ce cinéma. Or, le problème, tu le sais comme moi, c'est le sous-titrage. L'effort est vraiment à fournir de ce côté-là. Pourquoi le cinéma du Sud (tamoul, malayalam) n'est pas enseigné en fac de cinéma ? Toujours pour les mêmes raisons, pas de sous-titrage français. Il faut profiter aussi des cinémas qui collaborent comme le Bijou, mais là aussi il faut du sous-titrage français. Par exemple, pour la journée Slumdog/ Darjeeling Limited, à la place de ce dernier c'est un Pattiyal (les deux petites frappes du bidonville de Chennai qui tournent mal) ou un Veyil (le contre-point dans l'amour fraternel) qui auraient eu leur place, mais voilà, où sont les bobines ? Ont-ils des sous-titres français ?

Je recopie intégralement la réponse que j'ai faite à JC pour son article "A. R. Rahman : analyse d'une victoire" pour ouvrir un débat sur la diffusion du cinéma tamoul. Mon constat est le suivant : le cinéma tamoul, en particulier ses drames sociaux néo-réalistes à la Pattiyal, Veyil ou Kaadhal ou ses drames politiques à la Roja, Bombay, Kannathil Muthamital (j'en oublie certainement... de même que j'oublie de citer quelques perles malayalam), mérite d'être connu. Or le gros obstacle à sa diffusion est, selon moi, l'absence de sous-titrage français. Ce même constat a été fait, je crois, par l'association des amis du cinéma tamoul, qui, lors de la diffusion du dernier film de Vijay sans titre dans un cinéma Gaumont, s'est rendu compte que l'absence de sous-titrage entraînait, et pour cause, une réception trop communautaire. Je ne sais s'ils ont entrepris quelque chose pour remédier à cela.
Pour ma part, je crois que les films de Vijay sont tout à fait dispensables, en revanche, les chefs d'œuvres que j'ai cités précédemment (et d'autres...) mériteraient une meilleure visibilité d'abord en France, puis pourquoi pas au niveau international par la suite.
Donc, j'ouvre ce topic pour lancer quelques pistes de réflexion.
Je sais que sur ce forum nous sommes peu à nous intéresser, tout du moins à poster dans la partie cinéma tamoul, mais que beaucoup seraient intéresser s'il n'y avait ce barrage des sous-titres.
Je pose donc la question : que faire pour remédier à cela ?
#13
Voici un article très intéressant qui traite des liens entre la cinématographie tamoule et la politique, tiré du magazine Outlook India.
L'article est en anglais, désolé, mais, suite à une discussion sur le topic "Quel est le meilleur scénario hindi", il m'a semblé judicieux de le poster.
Je résume brièvement :
L'article traite de l'évolution de l'idéologie dans le cinéma tamoul, en particulier il montre comment le nationalisme dravidien a été évacué des films au profit d'une idéologie nationaliste non séparatiste (films de Mani Ratnam) ou d'une idéologie valorisant l'appartenance à la caste, c'est le cas de Khadal.  En particulier l'article note l'émergence d'une idéologie valorisant les castes intermédiaires au dépend de la caste supérieure, due à leur ascension sociale en terme économique.

CitationPolitics, Tamil Cinema Eshtyle

By S Anand

02 June, 2005

Tamil cinema's affair with politics has been a long-standing one, but a few things have definitively changed in the last 10 years. Since the 1996 election, when Rajnikanth's open support for the Tamil Maanila Congress-Dravida Munnetra Kazhagam alliance was considered crucial for J. Jayalalitha's defeat, to 2004 when Rajnikanth was proved to have zero effect on electoral politics, the overt cinema-politics linkage appears to have been severed.

But the truth is that Tamil cinema has merely learnt to craft politics in a different fashion. How such politics is perceived and received has depended on the location of the audience in the caste-class, rural-urban axes.

Watching Kaadhal (Love) early this year in Chennai, a low-budget story of teenage love that surprised the box office, I initially viewed it as the same old story of heterosexual love told in a refreshingly different manner. Its recreation of Madurai's small-town ambience and steering clear of stereotypical approach to conflict and conflict-resolution seemed appealing. But a more sociologically nuanced reading underlined a danger.

An aspiring filmmaker friend who watched Kaadhal in a Madurai cinema talked of how Thevars--the dominant 'backward caste' of the southern districts--in the hall shouted aloud: 'Fuckers, this will be your fate if you think you can get our girl.' Dalits watching the movie in the southern districts were intimidated both by the depiction of the hero and by the participative enthusiasm of the Thevars among the audience.

Kaadhal does not explicitly state the caste background of either the boy (Murugan, a two-wheeler mechanic) or the girl (Iswarya, a class X student). However, it is made amply clear that director Balaji Sakthivel, a Thevar, is 'authentically' portraying a Thevar subculture in representing Iswarya and her family. All we know of Murugan is that he lives in a dirty slum--the door of his house painted an Ambedkarite blue--with his mother.

When Iswarya elopes with Murugan to Chennai, the director creates clever plot devices to ensure that the couple is not shown sleeping together in the three nights they spend in Chennai. The couple spends the first night in the city by watching a late show of a film and riding a bus all night for want of a place to rest. Sex is not possible. The next day, Iswarya has her period and Murugan buys her sanitary pads. The impossibility of sex is reinforced. The third day they get married, but Iswarya's relatives separate them and almost beat the life out of Murugan. No sex again.

The director conveys to the audience that the Thevar girl's virginity is intact. Interestingly, such a portrayal comes at a time when Selvaraghavan's blockbusters--Thulluvado Ilamai (The Spring of Youth) and 7G Rainbow Colony--have shown the adolescent female lead sleeping with the hero but not being keen on marriage.

Sakthivel also gives us ample scope to decipher Murugan's caste status. To a question from Iswarya's uncle about what caste he belongs to, Murugan merely says: 'The caste of humanity.' When the uncle claims to belong to the caste of lions and insists on knowing Murugan's caste, the latter is silent. Later, when being mauled by the ostensibly Thevar relatives of Iswarya, he is called a 'low-caste dog'. As the film ends, Iswarya, now an unhappily wedded mother pillion-riding her same-caste husband, spots Murugan as a mad man at a traffic signal. This is where some young Thevars in the audience shout in Madurai's cinemas: 'Keep off our women.

In a decade that witnessed the entrenchment of the fair-skinned north-Indian heroine (Khushboo, Naghma, Simran, Jyotika) as the ideal accouterment for the dark Dravidian hero, Kaadhal pitted a dark Tamil woman (Sandhya) against a believable, vulnerable man (Bharath). But caste overrode their Tamilness.

Kaadhal and its success offer several pointers to how Tamil cinema has renegotiated its relationship with politics. In the early 1990s, a spate of films sported caste names such as Chinna Gounder, Thevar Magan, Thevar Veettu Ponnu and Kunguma Pottu Gounder, and several protagonists played traditional panchayat chiefs strutting their caste identities in a rural-feudal setting. These films glorified caste and became vehicles of assertion of pride of the middle castes. Cinema at this juncture reflected the developments in the political and social realms.

While the southern districts witnessed bloody clashes between dalits and Hindus, castes such as Thevars, Vanniars, Naickers and Nadars were asserting themselves in the public sphere. Cinema cashed in. The song Potri padadi penne/ Thevar-kaladi manne (Praise the land touched by Thevar's feet) in Thevar Magan, which eulogised Thevars, triggered caste clashes even in college hostels.

While in the heydays of Dravidian ideology--from Annadurai to MGR--cinema was used as a tool of politics, in the 1990s politics became a tool for cinema. The 2001 assembly election saw the emergence of several parties affiliated to specific castes and the DMK trucking with them. After the DMK alliance was routed, these caste-based parties wound up. The strident use of caste names in film titles and for protagonists also waned. However, caste identity has come to be stated through cultural markers, dialect, food and location.

In the last five years, marginal castes hitherto invisible in Tamil cinema, such as Vanniyars, have found a space via filmmakers like Thangar Bachan (Azhagi, Solla Maranda Kathai and Thendral). Their rise coincides with the coming of age of the Vanniyar-based Pattaali Makkal Katchi led by S. Ramadoss. Like Kaadhal, Bachan's films do not spell out but imply the caste ethos.

Parallel to such 'regional', caste-oriented aspirations, Mani Rathnam emerged as someone who took on 'national' issues. While the Dravidian cinema scripted by DMK stalwarts like C.N. Annadurai (Velakkari 1949) and M. Karunanidhi (Parasakthi 1952) had engaged with local issues of non-Brahmin assertion, language, and self-respect, a tradition that continued up to MGR's oeuvre, Mani Rathnam, after initially dabbling in dramas and love stories, sought to herald the arrival of the Tamil as a national citizen. This coincided with the emergence of the DMK and AIADMK as national players in alliance governments.

Roja (1992) with its anti-Muslim bias was attuned to Hindutva-style cultural nationalism in the year of the Babri Masjid demolition. After making Bombay (1994), he even agreed to cuts demanded by Balasaheb Thackeray. The film offered a romantic recipe for communal harmony and endorsed Thackeray's view of the Muslim victim as accused. Rathnam's films, running only in 'A' centres in Tamil Nadu, had style and technical wizardry but were backed by little substance. His apparently deracinated urban protagonists speak in murmurs in dim, back-lit rooms. In Kannathil Muthammittal, flooded by picture-postcard images, he gives the short shrift to both the Eelam and adoption issues.

Around the same time, Bala, a fresh directorial voice, made Nanda which captured the same Rameswaram with an imagination that eluded Kannathil.

The contrast is most telling between Sakthivel's Kaadhal and Rathnam's Alaypayudhe (remade as Saathiya in Hindi).While Kaadhal captures the real struggles that a couple faces in a city, Alaypayudhe's couple moves into an unfinished building decked with Fab India furnishings. Rathnam may be slick but offers no progressive relief: his heroines bear the brunt of burdensome elements of tradition. Till marriage they are child-like, sing, dance and frolic. After marriage and loss of innocence, they become obsessed with their thali (mangalsutra).

The past decade also spelled the death of a few genres that flourished in the 1970s and 1980s: the rural-background film (of Bharathiraja, S.P. Muthuraman, Kasthuri Raja), the social melodrama (of Visu, V. Sekhar), and the relationships dramas of K. Balachander. The emergence of Sun TV as the most powerful medium in Tamil society since 1995 led to television weaning away most of the women audience from cinema halls.

Every day from 7.30 p.m. to 10.00 p.m. various kinds of soaps keep most Tamil households hooked. Filmmakers like Balachander have in fact switched to directing and producing serials. Cinema thus came to be burdened with the task of attracting a predominantly young, male audience not drawn to TV serials. It was around this time that caste appeal came to be made via cinema to one segment, and depoliticised entertainment was lapped up by others.

The high point of such entertainment has been the masala formula mastered by Vijay, the highest paid Tamil actor who has churned out at least three hits annually in the last five years. Distributors call him 'collection king'. With minimal acting abilities, Vijay, shorn of any caste affiliation, does the same fight-love-dance-comedy routine in film after film and ensures that he is watched. This kind of cinema passes for a celebration of 'youthfulness', but in fact represents the political apathy of the younger generation.

The Vijay formula films also indicate that following successive Dravidian party regimes and the prospering of the upper strata of non-Brahmins, the Tamils can forget about waging political struggles and simply sit back and enjoy. The angst of Gunasekaran-Sivaji Ganesan's character-in the DMK vehicle Parasakthi has no place today. The angry, rebellious, anti-establishment voices of the seventies and early eighties have become the establishment. The youth, contained and contented despite high unemployment levels, seem to meekly accept Vijay's message of 'enjoy life'.

Tamil cinema remains an embarrassment confined to Tamil Nadu.
#14
Arène de la Mort qui tue / Nominations aux Oscars
22 Janvier 2009 à 16:56:51
La liste des nominations (je la mets en anglais car certaines catégories techniques, comme "meilleur montage" n'apparaissaient pas sur la news d'allociné)

Nominees for the 81st Academy Awards
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Performance by an actor in a leading role

    * Richard Jenkins in "The Visitor" (Overture Films)
    * Frank Langella in "Frost/Nixon" (Universal)
    * Sean Penn in "Milk" (Focus Features)
    * Brad Pitt in "The Curious Case of Benjamin Button" (Paramount and Warner Bros.)
    * Mickey Rourke in "The Wrestler" (Fox Searchlight)

Performance by an actor in a supporting role

    * Josh Brolin in "Milk" (Focus Features)
    * Robert Downey Jr. in "Tropic Thunder" (DreamWorks, Distributed by DreamWorks/Paramount)
    * Philip Seymour Hoffman in "Doubt" (Miramax)
    * Heath Ledger in "The Dark Knight" (Warner Bros.)
    * Michael Shannon in "Revolutionary Road" (DreamWorks, Distributed by Paramount Vantage)

Performance by an actress in a leading role

    * Anne Hathaway in "Rachel Getting Married" (Sony Pictures Classics)
    * Angelina Jolie in "Changeling" (Universal)
    * Melissa Leo in "Frozen River" (Sony Pictures Classics)
    * Meryl Streep in "Doubt" (Miramax)
    * Kate Winslet in "The Reader" (The Weinstein Company)

Performance by an actress in a supporting role

    * Amy Adams in "Doubt" (Miramax)
    * Penélope Cruz in "Vicky Cristina Barcelona" (The Weinstein Company)
    * Viola Davis in "Doubt" (Miramax)
    * Taraji P. Henson in "The Curious Case of Benjamin Button" (Paramount and Warner Bros.)
    * Marisa Tomei in "The Wrestler" (Fox Searchlight)

Best animated feature film of the year

    * "Bolt" (Walt Disney), Chris Williams and Byron Howard
    * "Kung Fu Panda" (DreamWorks Animation, Distributed by Paramount), John Stevenson and Mark Osborne
    * "WALL-E" (Walt Disney), Andrew Stanton

Achievement in art direction

    * "Changeling" (Universal), Art Direction: James J. Murakami, Set Decoration: Gary Fettis
    * "The Curious Case of Benjamin Button" (Paramount and Warner Bros.), Art Direction: Donald Graham Burt, Set Decoration: Victor J. Zolfo
    * "The Dark Knight" (Warner Bros.), Art Direction: Nathan Crowley, Set Decoration: Peter Lando
    * "The Duchess" (Paramount Vantage, Pathé and BBC Films), Art Direction: Michael Carlin, Set Decoration: Rebecca Alleway
    * "Revolutionary Road" (DreamWorks, Distributed by Paramount Vantage), Art Direction: Kristi Zea, Set Decoration: Debra Schutt

Achievement in cinematography

    * "Changeling" (Universal), Tom Stern
    * "The Curious Case of Benjamin Button" (Paramount and Warner Bros.), Claudio Miranda
    * "The Dark Knight" (Warner Bros.), Wally Pfister
    * "The Reader" (The Weinstein Company), Chris Menges and Roger Deakins
    * "Slumdog Millionaire" (Fox Searchlight), Anthony Dod Mantle

Achievement in costume design

    * "Australia" (20th Century Fox), Catherine Martin
    * "The Curious Case of Benjamin Button" (Paramount and Warner Bros.), Jacqueline West
    * "The Duchess" (Paramount Vantage, Pathé and BBC Films), Michael O'Connor
    * "Milk" (Focus Features), Danny Glicker
    * "Revolutionary Road"  (DreamWorks, Distributed by Paramount Vantage), Albert Wolsky

Achievement in directing

    * "The Curious Case of Benjamin Button" (Paramount and Warner Bros.), David Fincher
    * "Frost/Nixon" (Universal), Ron Howard
    * "Milk" (Focus Features), Gus Van Sant
    * "The Reader" (The Weinstein Company), Stephen Daldry
    * "Slumdog Millionaire" (Fox Searchlight), Danny Boyle

Best documentary feature

    * "The Betrayal (Nerakhoon)" (Cinema Guild), A Pandinlao Films Production, Ellen Kuras and Thavisouk Phrasavath
    * "Encounters at the End of the World" (THINKFilm and Image Entertainment), A Creative Differences Production, Werner Herzog and Henry Kaiser
    * "The Garden" A Black Valley Films Production, Scott Hamilton Kennedy
    * "Man on Wire" (Magnolia Pictures), A Wall to Wall Production, James Marsh and Simon Chinn
    * "Trouble the Water" (Zeitgeist Films), An Elsewhere Films Production, Tia Lessin and Carl Deal

Best documentary short subject

    * "The Conscience of Nhem En" A Farallon Films Production, Steven Okazaki
    * "The Final Inch" A Vermilion Films Production, Irene Taylor Brodsky and Tom Grant
    * "Smile Pinki" A Principe Production, Megan Mylan
    * "The Witness - From the Balcony of Room 306" A Rock Paper Scissors Production, Adam Pertofsky and Margaret Hyde

Achievement in film editing

    * "The Curious Case of Benjamin Button" (Paramount and Warner Bros.), Kirk Baxter and Angus Wall
    * "The Dark Knight" (Warner Bros.), Lee Smith
    * "Frost/Nixon" (Universal), Mike Hill and Dan Hanley
    * "Milk" (Focus Features), Elliot Graham
    * "Slumdog Millionaire" (Fox Searchlight), Chris Dickens

Best foreign language film of the year

    * "The Baader Meinhof Complex" A Constantin Film Production, Germany
    * "The Class" (Sony Pictures Classics), A Haut et Court Production, France
    * "Departures" (Regent Releasing), A Departures Film Partners Production, Japan
    * "Revanche" (Janus Films), A Prisma Film/Fernseh Production, Austria
    * "Waltz with Bashir" (Sony Pictures Classics), A Bridgit Folman Film Gang Production, Israel

Achievement in makeup

    * "The Curious Case of Benjamin Button" (Paramount and Warner Bros.), Greg Cannom
    * "The Dark Knight" (Warner Bros.), John Caglione, Jr. and Conor O'Sullivan
    * "Hellboy II: The Golden Army" (Universal), Mike Elizalde and Thom Floutz

Achievement in music written for motion pictures (Original score)

    * "The Curious Case of Benjamin Button" (Paramount and Warner Bros.), Alexandre Desplat
    * "Defiance" (Paramount Vantage), James Newton Howard
    * "Milk" (Focus Features), Danny Elfman
    * "Slumdog Millionaire" (Fox Searchlight), A.R. Rahman
    * "WALL-E" (Walt Disney), Thomas Newman

Achievement in music written for motion pictures (Original song)

    * "Down to Earth" from "WALL-E" (Walt Disney), Music by Peter Gabriel and Thomas Newman, Lyric by Peter Gabriel
    * "Jai Ho" from "Slumdog Millionaire" (Fox Searchlight), Music by A.R. Rahman, Lyric by Gulzar
    * "O Saya" from "Slumdog Millionaire" (Fox Searchlight), Music and Lyric by A.R. Rahman and Maya Arulpragasam                 

Best motion picture of the year

    * "The Curious Case of Benjamin Button" (Paramount and Warner Bros.), A Kennedy/Marshall Production, Kathleen Kennedy, Frank Marshall and Ceán Chaffin, Producers
    * "Frost/Nixon" (Universal), A Universal Pictures, Imagine Entertainment and Working Title Production, Brian Grazer, Ron Howard and Eric Fellner, Producers
    * "Milk" (Focus Features), A Groundswell and Jinks/Cohen Company Production, Dan Jinks and Bruce Cohen, Producers
    * "The Reader" (The Weinstein Company), A Mirage Enterprises and Neunte Babelsberg Film GmbH Production, Nominees to be determined
    * "Slumdog Millionaire" (Fox Searchlight), A Celador Films Production, Christian Colson, Producer

Best animated short film

    * "La Maison en Petits Cubes" A Robot Communications Production, Kunio Kato
    * "Lavatory - Lovestory" A Melnitsa Animation Studio and CTB Film Company Production, Konstantin Bronzit
    * "Oktapodi" (Talantis Films), A Gobelins, L'école de l'image Production, Emud Mokhberi and Thierry Marchand
    * "Presto" (Walt Disney), A Pixar Animation Studios Production, Doug Sweetland
    * "This Way Up" A Nexus Production, Alan Smith and Adam Foulkes

Best live action short film

    * "Auf der Strecke (On the Line)" (Hamburg Shortfilmagency), An Academy of Media Arts Cologne Production, Reto Caffi
    * "Manon on the Asphalt" (La Luna Productions), A La Luna Production, Elizabeth Marre and Olivier Pont
    * "New Boy" (Network Ireland Television), A Zanzibar Films Production, Steph Green and Tamara Anghie
    * "The Pig" An M & M Production, Tivi Magnusson and Dorte Høgh
    * "Spielzeugland (Toyland)" A Mephisto Film Production, Jochen Alexander Freydank

Achievement in sound editing

    * "The Dark Knight" (Warner Bros.), Richard King
    * "Iron Man" (Paramount and Marvel Entertainment), Frank Eulner and Christopher Boyes
    * "Slumdog Millionaire" (Fox Searchlight), Tom Sayers
    * "WALL-E" (Walt Disney), Ben Burtt and Matthew Wood
    * "Wanted" (Universal), Wylie Stateman

Achievement in sound mixing

    * "The Curious Case of Benjamin Button" (Paramount and Warner Bros.), David Parker, Michael Semanick, Ren Klyce and Mark Weingarten
    * "The Dark Knight" (Warner Bros.), Lora Hirschberg, Gary Rizzo and Ed Novick
    * "Slumdog Millionaire" (Fox Searchlight), Ian Tapp, Richard Pryke and Resul Pookutty
    * "WALL-E" (Walt Disney), Tom Myers, Michael Semanick and Ben Burtt
    * "Wanted" (Universal), Chris Jenkins, Frank A. Montaño and Petr Forejt

Achievement in visual effects

    * "The Curious Case of Benjamin Button" (Paramount and Warner Bros.), Eric Barba, Steve Preeg, Burt Dalton and Craig Barron
    * "The Dark Knight" (Warner Bros.), Nick Davis, Chris Corbould, Tim Webber and Paul Franklin
    * "Iron Man" (Paramount and Marvel Entertainment), John Nelson, Ben Snow, Dan Sudick and Shane Mahan

Adapted screenplay

    * "The Curious Case of Benjamin Button" (Paramount and Warner Bros.), Screenplay by Eric Roth, Screen story by Eric Roth and Robin Swicord
    * "Doubt" (Miramax), Written by John Patrick Shanley
    * "Frost/Nixon" (Universal), Screenplay by Peter Morgan
    * "The Reader" (The Weinstein Company), Screenplay by David Hare
    * "Slumdog Millionaire" (Fox Searchlight), Screenplay by Simon Beaufoy

Original screenplay

    * "Frozen River" (Sony Pictures Classics), Written by Courtney Hunt
    * "Happy-Go-Lucky" (Miramax), Written by Mike Leigh
    * "In Bruges" (Focus Features), Written by Martin McDonagh
    * "Milk" (Focus Features), Written by Dustin Lance Black
    * "WALL-E" (Walt Disney), Screenplay by Andrew Stanton, Jim Reardon, Original story by Andrew Stanton, Pete Docter
#15
Arène de la Mort qui tue / Dev Patel
19 Janvier 2009 à 00:18:25
Je viens de regarder un épisode de Skins, où Dev Patel (sous les feux des projecteurs actuellement), grâce au succès critique et public de Slumdog Millionaire), tient le rôle de Anwar. J'ai eu envie d'en savoir un peu plus sur lui, mais il n'y a encore pas beaucoup d'info sur le net (en tout cas en français), mais on trouve quand même ça date de naissance (1er avril 1990, il a l'âge de Señorita  :mrgreen: :mrgreen: ) et c'est là où je me dis qu'il livre vraiment une performance bluffante dans Slumdog Millionaire.
Voici un petit extrait de Skins, saison 1, épisode 6 (très drôle)
http://www.youtube.com/watch?v=RJbfukDcxGI

et puis un extrait d'interview au titre évocateur "From Skins to Slumdog millionaire"
http://www.youtube.com/watch?v=v52StT7aVLE

Finalement, il lui arrive un peu la même chose qu'à son héros, il a décroché d'une certaine façon un jackpot car il est quand même nommé dans la catégorie de meilleur acteur au BAFTA. Nul doute que ce sera un acteur à suivre...  :clap: :clap: :clap: :clap: :clap:


#16
Arène de la Mort qui tue / RIP Claude Berri
12 Janvier 2009 à 18:20:26
Le cinéma est à nouveau en deuil avec la mort de Claude Berri, acteur, réalisateur et producteur français.
Avec lui, c'est tout un pan du cinéma français contemporain qui part. Réalisateur de films intimistes comme Tchao Pantin ou l'Un reste l'autre part, ou d'adaptations littéraires, tout le monde se souvient de  Jean de Florette et Manon des sources ou Germinal entre autres ou le récent Ensemble c'est tout, il a, comme producteur, financé la plupart des films français de ces trente dernières années en alternant cinéma populaire et cinéma d'auteur. On lui doit Astérix : mission Cléôpatre ou Astérix contre César, les Ch'tis, l'Amant, L'ours, Tess, la Reine Margot et tant d'autres...
RiP Claude Berri
#17
Certains d'entre vous connaissent le réalisateur Bala, vous vous rappelez Nandha avec Surya (avec les yeux bleus) ou Pithamagan avec Vikram et Surya, mais aussi Sethu avec Vikram (celui-là, je ne l'ai pas encore vu, mais Kendra pourra en parler longuement  :lol: :lol:).
Bon, il sort un nouveau film au sujet et au visuel toujours aussi particuliers, puisque que l'intrigue du film se déroule dans la secte des Sadhus aghoris, des Sadhus un peu particuliers qui, outre la méditation, pratiquent la nécrophagie.

Voici quelques images
http://specials.rediff.com/movies/2008/dec/31sl1-balas-naan-kadavul-for-pongal.htm

La BA
http://www.youtube.com/watch?v=mcxNtTRgJJk

et une chanson
http://www.youtube.com/watch?v=JwlW0GxSw_A


Enjoy it comme disent les utilisateurs qui ont posté les vidéos  :P :P :mrgreen:
(voilà, comme ça je ne serai pas la seule à faire des cauchemars  :P :P)
#18
Arène de la Mort qui tue / Le jeu de la chaussure
20 Décembre 2008 à 19:01:30
Le jet de chaussure sur Bush est désormais célèbre et a inspiré de nombreux jeu sur le net.
C'est absolument nul, mais quelque part ça fait du bien  :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:
Vous aussi venez jeter des chaussures
http://www.sockandawe.com/
#19
Bollywood / Ravana, le nouveau Mani Ratnam
21 Novembre 2008 à 09:49:27
Il y avait une news avant-hier, dans Indiatimes, sur le dernier film de Mani Ratnam qui devrait s'intituler Ravana, dont le script s'inspire, comme l'indique le titre, de l'épopée du Ramayana, au casting, Aish, Abhi, Vikram et Govinda  :mrgreen: :mrgreen: A la surprise générale, alors que tout le monde croyait que Abhi aurait le rôle de Rama, le prince vertueux, c'est Vikram qui l'interprétera alors que Abhi jouera le démon Ravana  :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: Pour Hanuman, le roi des singes, c'est Govinda  :mrgreen: :mrgreen: et bien sûr Sita pour Aish. On compte sur Mani Sir pour bien diriger tout ce beau monde.

#20
En attendant d'avoir un remake indien de Le Rôtisseur (voir BA dans Tonnerre sous les tropiques) où le rôle principal serait bien sûr dévolu à Sunny Deol  :mrgreen: :mrgreen: je vous propose de jouer à un jeu qui nous amuse beaucoup, Señorita et moi, le jeu des castings. On image un futur vrai fau remake d'un film et on refait le casting.
Alors je lance le jeu.
J'image un remake indien de BrokeBack Moutain, avec dans une version tamoule, Bharath, dans le rôle de Jake Gyllenhal et Arya, dans celui de Heath Ledger. Dans une version hindie, on avait bien ri sur une possible version réunissant SRK et AK, mais il faut se rendre à l'évidence, ils sont bien trop vieux pour les rôles, alors en plus jeune, je verrai Shahid Kapoor pour Jake et Imran Khan pour Heath, mais il peut y avoir d'autres propositions.
Vous pouvez, pour jouer, soit commenter ce casting, soit proposer un autre casting d'un vrai faux remake, mais je vous garantis que vous ne regarderez plus le film tamoul, Pattiyal de la même façon  :mrgreen: :mrgreen: